Desideria. Ce soir à 20h30 au CCAM*.
Wholaaaaa la, même prêts, même impatients, même faux crâneurs, même convaincus, même surchauffés, même excités, même détendus, même amoureux, même remplis d'envie, même embarqués, même étonnés, même ok-pour-tout, même open, même comme ça, vivre la première d'un spectacle restera pour chacun un événement. Comme souvent un baiser... po po pom pom.
Voilà donc eh eh un moment unique - one shot ! - qui ne se renouvellera pas tout en ouvrant des perspectives inconnues et bien vastes - un instant-fabrique d'une autre vie. Finalement, participer au monde de l'art (le doigt sur la couture de pantalon) c'est profiter de vivre beaucoup de première fois ma foi, avec plaisir, avec délectation et avec un peu... de... trac. Le trac des premières ! Ah ! Ce tremblement sans contrôle qui vous embrasse comme à un joli rendez-vous. Wouuuuuuuuuu.
Le frisson d'une rencontre aux émotions qui ne vous appartiennent pas entièrement. Celles venant de l'autre, un public (ou the dark side of the moooooon) qui attend et donne son attention et ses réactions, et... son corps aussi. Yes !
Mêler ensemble l'amour d'une première ou le premier amour ressemble à une question ouverte, un pas de deux sans voir sans savoir et la pure sensation de se laisser transporter par le mystère qui va circuler et tout réunir. Ouaip !
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