mercredi 30 mars 2011

Insomnies parallèles.

oui... ca se clique, sur.


De derrière on dirait presque une demoiselle fruitée, elle est jolie celle des cieux croisée lorsque dans un rêve on à traversé et les airs et les terres.
Mais qui sait si elle existe cette pensée cette esquisse et si ce n'est juste une théorie, une belle idée ou un brin de folie. Songes et réalités entremêlés, le demi-jour et les sensations de petite reine, les alouettes miroir et le jeu des troubles en fêtes entre-deux d'un monde qui s'en va pour un monde qui vient.

Elle est séduisante et très beaucoup fleurie, c'est le sentiment au réveil d'un été et du bel avenir ensoleillé qui s'étire et se prolonge au milieu des méandres d'un cerveau encore un peu endormi*. Drogué.
Elle file et elle se faufile, cette lueur et cette prémisse, comme si de rien n'était, le naturel au galop, entre les Everest les pics et les sommets survolés, la nuit, au dessus des monts sous-marins des failles, des fosses et des rift océaniques, autant de lunes.
Elle existe, étoilée, et elle s'allonge ensuite au creux des souvenirs ailés dont le temps et l'époque se sont évanouis, poésie de vestiges pour les futurs journées constellées*.

La beauté des rêves qui persistent, jour après jour comme une réalité légèrement jaunie. Nécessaire*.

Puis voila les simili nuits rappelées, les élégantes et sensationnelles réalités recherchées, retrouvailles colorées* comme autant de vérités, tonight, tonight*, peut être reviendra t-elle cette fée cette rareté, la pensée la philosophie, l'image imaginée, pour continuer à enivrer et donner au fil de l'obscurité le soleil des journées.




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