samedi 28 juillet 2012

Bonnes vacances !







Mais oui, la cloche à sonnée ! 
C'est le break avant la rentrée, la pause d'été, 
le temps d'une fleur cueillie accrochée aux journées ! 

Ici tout s'arrête, juste aujourd'hui et jusque le 27 aout, à peu prés. 

J'espère que l'on s'y retrouvera, détendus et frais... 
Joyeux !











vendredi 27 juillet 2012

Bientôt mon Toto.

 Oh ! Les mouettes... l'avant gout partout des corps en godaille !




Belle ile en tête, ou l'esprit en mer, c'est bientôt les Grandes Vacances ! pour tout le monde, et ce blog. Disons samedi, ou dimanche ; qui sait qui sait lorsque l'on mettra tout en l'air.

Un stop, et peut être un go - mais l'avenir n'est jamais certain, c'est l'intérêt, hey !

Mise au rencard donc ce Walhalla fabriqué ... mais après tout, que l'ivresse des beautés navigue sur les réalités ou dans les pensées, l'effet est le même, une légèreté de trip, un jeu à surfer sur ce qui soulève et porte et coule et submerge ou détone. 
L'émotion comme le son profond de ces vagues lointaines et énigmatiques que l'on entend au creux d'un coquillage, banal, ou l'émotion comme on boit la tasse.

Finalement, voilà. Écouter ce qui bat et ce qui vibre, chez soi, en conséquence du monde, chez les autres, en curiosité de choix et d'inventivité. C'est la veine d'une mine de richesses et de trouvailles de tout un chacun.
Ce blog part en goguette silencieuse. Ouioui un paradoxe. Et peut être que son silence, une presque autonomie, sera toujours en soi une parole, un mouvement et une drôle de couleur. Les mécaniques incompréhensibles.

"Ce que j'ai aimé, que je l'aie gardé ou non, je l'aimerai toujours" disait André Breton, phare des souvenirs ambrés, il avait bien raison. 
Il n'y à rien qui puisse s'oublier de ce qui nous à fait. Un modelage sans doute patiné, mais qui reste vestige comme un cratère, le signe luxuriant et roboratif qu'un météore est passé, chamboulement émotif et physique, la belle surprise sans prévenir.

- - - - -

C'est presque un départ aux mouchoirs, sur le bord du quai-clavier. Trois semaines ou pour toujours jusqu'au prochain jour, à côté. Le voilà mis sur le coin de table, ce blog, comme les cahiers d'écoliers écornés ou les trousses aux crayons épuisés. Un espace décalé qui va se laisser aller.

Il n'y a jamais eu de "je" ici, mais bien sur, entre les lignes... 
En ceci, l'Extravagant Quotidien est un carnet, un journal (après tout, d'autres, bien inspirés, ce sont coltinés l'écriture du "journal d'un corps"), une construction de mots et d'idées nourrie des journées et des nuits - l'EQ, extraterrestre, simplement traversé et gribouillé de textes mi-achevés mi-commencés.

Et l'on se rend compte des effets ! De si peu, de quelques instants d'observation, se révèle les envies et les joies - souvent auto-surprenantes - des cosmonautes passagers.

Chaque jour (quel rythme d'enfer pour ce paradis artificiel, quand on y songe !) une banalité s'est trouvé épinglée. Par plaisir de découvrir ce que cache la fertilité d'un monde local habité de périples et d'Odyssées, et de ces objets, et de ces inoubliables rencontres. 

Le monde est quand même formidable. Vraiment. Aussi.

D'une image à une pensée, d'une fantasmagorie à un spectacle, en passant par des sensations ou des sourires ou des inattendus sacrément époustouflants, d'une magie noire à la divagation, des Oh! aux déséquilibres ou aux dérèglements, des simples plaisirs aux complexes désirs, finalement ce blog n'a fait que baguenauder, éméché, dans un tourbillon, à imager de sons et de mots le temps qui passe.


Et puis, il à été lu. Et ça "je" le sais. Et j'en suis délicieusement ému et je vous dis... merci.




Ouais !


Métapsychose.




Tout le monde aimerait bien savoir ce qu'il se passe derrière. Ah ! Et le derrière serait-il tout le derrière... hum, forcément forcément, mais pas mais que pas que. Ce serait trop simple de tout dévoiler sous la jupe des filles ! Quoique.

La métaphysique des avenirs ne pourrait résider uniquement dans le physique à venir - même métacanon. Il doit bien y avoir autre chose, un métatruc, la solution aux questions sempiternelles, celles qui prolongent les lendemains inconnus et qui occupe quelques nuits, métastases de l'éveil.

Le derrière alors comme métaphore, backroom aux lunes argotiques d'espoirs à poursuivre ou l'amphore des secrets d'une chasse aux trésors. Le derrière des choses. Ces choses impudiques ou confidentielles qui se faufilent dans les esprits avides ; la chose, demain, et puis après.

Le désir de comprendre. Voilà bien une belle aventure. Sans lendemains certains, remplie de journées curieuses et de plaisirs polissons à chiner du bout du nez du bout des idées. Une métempsycose singulière à travers ce qui émerveille et rend pas pareil.
Le désir de comprendre. Ce drôle de moteur qui pousse à hue et a dia le long des surprises et des espiègleries. Le désir tout court à prendre et à chevaucher sans questions - et sans saisir le derrière pourtant, cette bagatelle qui fuit et s'évade et s'enfuit, malgré tout, devant.
Oui c'est une équipée, une errance positive, à flairer le bon coup qui se camoufle dans les théories des origines ou des big bang physiques.

Une chose en creux, qui ne répond à rien si ce n'est à ce que ce n'est pas. Un aléa possible, une mécanique insaisissable, indéchiffrable et pourtant si commune, si partagée.

Et demain ? Et demain. En soi ou ailleurs, chez les autres, pourquoi pas. Il y à au bout des questions sans fins, un drôle de paradoxe. Le résultat positif d'un échec.

La poursuite d'une étoile reste la mécanique des inventions enthousiastes.

Bozon. Ou la masse des particules. L'élémentaire, le plus infime, le plus petit, le plus discret, une des clefs des voyeurs du tout. Mais demain ?

Et cette étoile qui brille. Celle que l'on voit, là-bas, celle que l'on désire ici, celle qui flotte au gré des souvenirs et des nuits - ou la simple poésie des étrangetés qui vibre dans les inconnus non encore déshabillés.

Finalement il y à cette joie. Précieuse, des journées à mater. La caresse des regards à coulisse, ceux qui s'immiscent au profond des choses remplies de cette chose. Une exploration du sensible, une expédition (le Pourquoi pas ? le pourquoi pas* !) aux vents légers et aux corps emportés et aux esprits retournés.

Et puis demain ; et puis demain ?



mardi 24 juillet 2012

Flop2.





Aaaaaaa taaaaaaaaable !




Il y a des sons-pavlov, des appels à l'os, ouarf ouarf ! Conditionnés par l'acoustique, et la séduction immédiate des avenirs offerts. Phéromones et philtres sonores, mais ça alors, soif ! faim ! i want you ! now ! 
Personne ne sait vraiment comment cela fonctionne et qu'importe, on voit bien, on sent bien, ce qui fait trémousser les envies et les petits creux à remplir, dare-dare. 
Le charme opérant des magnétismes, piqué d'une fourchette phonique, obus claironnant en plein dans le mille. Ça défouraille sec !

Les mirettes sont toujours à l'avant-scène mais qui donc parle des esgourdes qui cabotinent à ériger les cœurs hauts et les lubies libido après le coup de Trafalgar tapageur. Alors alors alors, hop hop hop, up ! On ne peut que réagir sans férir aux sons vibrants&timbrés, parfois un peu griffés, colorés... et courir après !



lundi 23 juillet 2012

Le vidéogramme allége n°16 : la vie est simple lorqu'on s'organise.

Comme un pas sur la Lune.




Surréels (et bien au dessus) tellement ancrés dans les mirettes encore estomaquées. Il y à des premiers pas lointains qui laissent une empreinte aux exploits inoubliables, et songeurs. On pourrait se dire que cela n'a pas existé mais là-haut, heureusement heureusement, persiste et résiste la trace d'un passage aux gouts d'aventure sensationnelle. C'est de ce vestige noir&blanc et pourtant fleuri que rayonne la lumière sempiternelle d'un astre qui restera accroché aux têtes en l'air. 
La joie d'une Odyssée, le plaisir d'un pas déposé et d'un inaccessible touché. L'impossible grisé.


Flop.





Indus love.

dimanche 22 juillet 2012

Hey hello !


Dimanche.




Sunday. Morning. YeahYeahYeah. Jour de rien, mais de rien mademoiselle, on fait avec. Hey ! All over de day, what what what ? Watt ! Mais c'est open pour le flirt en l'air, histoire de monter up up up aux rideaux des cumulos. Texte passager sans mots ni tête. Sorry sorry sorry.


Bon ok.


Entends tu le hautbois qui sonne au fond du bas bois ?

samedi 21 juillet 2012

Bloups.




Les moments parenthèses, ailleurs nocturnes&diurnes qui se jouent des règles de coutume. A-pesanteur aux orthodoxies, et les corps qui flottent et les esprits qui s'allègent... on dirait bien que tout ce beau monde dansât ! 
Cela ressemble aux "tournées" ainsi, ces entre-deux mondes posés sur le temps et qui ne s'embarrassent d'aucunes contraintes (il faut voir "Tournée"* d'ailleurs). 
Le temps des ruffians alors, débauchés des journées banales ? Et bien oui. No limits pour ceux qui vivent en dehors des clous sans se soucier de tout ce qui les entoures.


Etoile passé - juste là.







On retrouvait l'Imprudence* ce beau tragique, fleur fanée et beauté rentrée, lumineuse de noirceur et d'étoile filé. C'est l’après des souvenirs, le temps qui suit le passé transformé en avenir, belle manière de défaire et intérieurs secrets. Rien de triste si ce n'est ce fil qui tient les mémoires à ne pas oublier, un moment emballé, un baiser volé et le reste qui coule le long des visages presque évaporés. Laisser venir laisser s'imprimer les marques d'un instant, la griffe d'une beauté, l'élégance des aimés qui se tiennent au bord des falaises de l'écoulé. Pas de présent offert à tout vent, mais cette brise de mer qui balaie les espaces vidés aux horizons illimités. Au cœur des secondes sonnées réside l'histoire des splendides évanouis. Un territoire de plaisirs expirés qui brillent encore comme une veilleuse de nuit, phare des vestiges et des superbes épopées. L'inoubliable raffiné.


"Mais vous êtes fou !", puis... kiss !

Michèle Mercier

vendredi 20 juillet 2012

"Venez nue, je vous habillerai de parfum."




Bien sur ce n'est qu'un slogan, une expression de séduction un appel à regarder l'étrange beauté, la forfanterie facétieuse des fanfarons du style et du déshabillé. Mais quand même, que de nue, que de plastiques plastoc qui emballent le regard et les envies d'artifice. Il reste par delà la vitrine (et même si ok yeahyeahyeah "le plastique c'est fantastique"*), un regret de chair et un manque de bouquet, une absence de fumet et tout ce qui fait le charme des plongées. 
Ah mais voilà l'appel d'air ! Il nous faut de l'oxygène, du corollaire de la vibration à fleur de peau et ce parfum qui pourrait bien, en soi, habiller le quotidien de splendides paradis terrestres.




Laisser le vent du soir décider.


avec Marc Ribot, Arto Lindsay... les beautés fanées et noires, joies des plaisirs brulés

L'électricité d'avant.






 7 vidéos de Tod Dockstader



La vieille électronique. Et oui dorénavant l'électronique vieillit, vite. Obsolescence des techniques mais pas des musiques, puisqu'il en reste les émotions et les envies. Tod Dockstader* c'est l'histoire* de l'électroacoustique, la fée électricité en mode préhistorique, mais mais mais il y à dans ces équilibres acoustiques une telle fraicheur une telle densité de proposition et d'invention que rien ne peut s'oxyder.

Quatermass Tango oscille entre une techno bien cachée et la visite de Vénus (à l'ancienne, avec trucages carton). Mais pas que. La dynamique des événements raconte cette histoire abstraite que chacun veut bien imaginer. C'est ce jeu non narratif d'un temps électroacoustique qui circule et propose des espaces d'émotion et d'immersion étranges et fertiles. 
Il faut écouter aussi le drame de Bande 2 : Pièce 8. Ce suspens (avec en prime le craquement réel du vinyle). Et Wah ! Ce mystère.

La musique électronique s'émancipe. C'est à ce moment qu'une nouvelle branche des esthétiques à pris l'air à tire d'ailes. Une histoire pas tant à part que cela (les compositeurs étaient des amoureux simple de musique d'avant - qu'importe, tout se passe en dessous de ce que l'on entend), mais une histoire qui tente et qui s'invente sans limite sans contrainte avec fraicheur et enthousiasme. Une certaine naïveté aussi, belle et attirante.

Finalement. Les débuts et les "premières" restent des expériences hors du commun.




jeudi 19 juillet 2012

Déambulant par çi par là, rien de plus.




                                     photo Aurélie Foucher


Booooooooooooooooong.







Faut oser. Mais ça fonctionne à merveille. La radicalité dans l'impressionnisme, sans tralala, tout en tenue et retenue, hypnose-émotionnelle. Il suffit de se laisser balader, un peu baratiner par les sons qui s'étirent s'étirent s'étirent et se métamorphosent lentement.

Quelle nuit ! Si l'on écoute de nuit. Mais cela s'écoute de nuit ! Il faut accepter la disponibilité du corps pour doper l'esprit à l'écoute, à l'immersion, au transfert de sensation.
Quelle expérience. Un sound-trip au milieu des étendues, panorama technicolor des atmosphères.
Tenir un tel équilibre autant de minutes est un pari, une audace et une conviction roborative !

The Necks est une musique pour l'élite. Ceux qui savent donner du temps pour que cela existe. Sans cette amour de ce qui peut arriver rien de ceci ne pourrait surgir.
The Necks construit une musique de privilégiés, ceux qui savent que le secret est à celui qui sait désirer. 


Quelle veine la musique.

ça se clique, oui 



mercredi 18 juillet 2012

Ante d'aujourd'hui.

ça se clique pour sur !


Le passé de nos jours. L'agréable d'une redite, lecture 2012 à la manière de pour voir comment se transforme l'anachronique* (la quatrième, le shorty bien actuel) en objet d'avant le déluge. Ce sont les ambrotypes d'Eric Antoine*, du coin, qui à aussi un blog*. Forcément forcément.
Et puis il y a l'épaisseur. Une technique ancienne qui donne du "grain" (du faux du poétique, puisque le grain* n'est apparu que plus tard - alors disons cette nuance au brin de teinte), un plongeon du regard dans une matière fait aussi d'aléatoire et de chimie. Regarder un ambrotype ou un daguerréotype c'est toucher ce qui se voit. Sentir une dimension, une densité d’impression et finalement une réalité physique de la photographie. Le plaisir sans doute de devoir se passer de l'écran, de la reproduction pour bien comprendre ce qui griffe.

La photographie est une image, mais pas seulement. C'est aussi un objet. L'art du développement et le sentiment d'un unique de l’unique. La rareté d'une situation saisi, la préciosité de ce qui est capturé, et un support à sensation travaillé, exploré, où le temps s'est déposé. La plaque de verre comme boite à mystère des amours disparus.

Et l'amour, d'ailleurs. Ce qui à filé, hier, et qui résiste dans les envies de ravir. Décrocher le lune pour ne pas laisser le temps s'évaporer et surtout garder en mémoire ce qui a marqué tant et tant en redonnant la possibilité de toucher, de renverser, de trembler, de ressentir, de s'enfoncer, de frisonner, d'être avec ce qui est, de s'évader, de retrouver, de baguenauder, d'embrasser, contre vents et marées.


Wake me up !





Statu quo ! Et les périodes à flottaison minimum, mais que faire mais que faire que faire... 

"-Ch'ais pas quoi faire... "
- Silence ! J'écris !"*

Faire de pensée, comme inventer un objet de désir ou le rôle des intérieurs fébriles. L'état tarabiscoté des secrets d’alcôves, ces endroits de l'envers qui voguent dans les corps et les territoires cachés libres de fabriquer. 
Intimité hinterland des émotions et des divagations-combinaison, fables à fabulations - l'amoureuse situation.

Faire de pensée et décoller du dedans, comme une transe-apnée, le vol imaginé et les espoirs où coulent l'envie - lubie libido des retirés. 






Seul.




Mais peinard ! dirait Léo Ferré. Ouioui. Et le vol solo d'un "lâché" à fleur de nuage en fin d'après-midi. Rien de personnel ! Les solitaires partagent une idée secrète, au fond du fond de l'affaire, bien camouflé bien dissimulé, qu'il n'est pas question de révéler - plutôt s'envoler !



Les grands plaisirs.




Un p'tit coin d'paradis... les grands plaisirs n'ont rien à voir avec la quantité des friandises. Un rien l'habille ! C'est vrai, en y réfléchissant, effet et causes ne sont pas tant liées à la taille des origines. Tout ça pour dire tout ça pour dire, que voler, ce peu, ce léger détail de situation, cette aération terrestre, côté décalé, tête en l'air et farfelu libéré, le vol à voile et sans vapeur donc, est une belle ivresse des évadés. Pardi !


Salut l'Eugène !




Il est beau l'Eugène* à se trimballer en ville et en rase campagne et all over the world. Il avait même un "Jazz Loft Project*" ce photo journaliste qui collait à la réalité en noir&blanc. 
C'était un engagé Gene, un full embedded des problèmes humains et des incroyables événements, à chopper l'ultra-réalité et la fiction fantastique qui y sommeil. L'horreur ou la beauté, les deux facettes d'une simple expérience. Un reportage en plein milieu, là où se trame une vérité. 
L'art du réalisme porte en lui les germes d'une poésie universelle qui projette tout ce qui ne se voit pas. On pourrait bien parler d'une extraction, saisissante révélation au travers d'un regard rapproché. 

La photographie comme effet collatéral.







mardi 17 juillet 2012

Simples plaisirs.


Le monde de la philosophie.




Pom Pom Pom. Le "rien" sans soi n'existe pas. Tout comme le silence ou le vide, le rien n'existe pas, à moins de disparaitre. Donc le "rien" n'existe pas. C'est la conscience, la présence, l'existence qui met ce qui est en valeur et les objets non identifiés en histoire. Le rien à soi, comme les petits riens, pourrait bien remplir les mémoires de souvenirs et les envies d'avenir s'il ne flottait pas perdu là dans un bric-à-brac d'émotion à débusquer et sans cesse à explorer.
Et le rien en soi, blotti comme une marque en creux - car alors, ce qui est est un rien détaillé, un rien habité, un rien éclairé ; un rien tout entier. A chiner mine de rien au milieu de ce qui meut les cœurs, on trouve tellement à aimer. Voilà déjà un plaisir à partager.


Vol au sol.


private joke pour lesplaneursdelest

Et oui. Art de vivre ou vivre par l'art.







tellement juste tellement juste


"... le monde n'est pas parfait, s'il n'y avait cette imperfection tout serait inutile, l'homme ne ferait que vivre dans cette harmonie sans vouloir la chercher...."



DIY !



lundi 16 juillet 2012

Bizarre.




Et alors finalement, bonheur & malheur sont deux états hors du monde, une indifférence au reste, la force centripète des humeurs. L'exclusion par l'indisponibilité, drôle de paradoxe qui rend les situations si stériles. 
On pourrait même se dire que c'est la quête et la recherche qui inventent les curiosités et les idées, au contraire des malheurs étouffants et des bonheurs anesthésiants. Et que dire des questions qui projettent et des envies qui en jettent ? 

Alors alors alors, inventer le monde, le déployer le déballer le découvrir c'est l'explorer, en tâter les rondeurs inconnues en gouter les saveurs clandestines ; et ne pas se laisser embrasser ni par le bonheur ni par le malheur ?

Complexité des mouvements et rareté des recettes, il faut faire avec. Bong.