Oh ! Les mouettes... l'avant gout partout des corps en godaille !
Belle ile en tête, ou l'esprit en mer, c'est bientôt les Grandes Vacances ! pour tout le monde, et ce blog. Disons samedi, ou dimanche ; qui sait qui sait lorsque l'on mettra tout en l'air.
Un stop, et peut être un go - mais l'avenir n'est jamais certain, c'est l'intérêt, hey !
Mise au rencard donc ce Walhalla fabriqué ... mais après tout, que l'ivresse des beautés navigue sur les réalités ou dans les pensées, l'effet est le même, une légèreté de trip, un jeu à surfer sur ce qui soulève et porte et coule et submerge ou détone.
Un stop, et peut être un go - mais l'avenir n'est jamais certain, c'est l'intérêt, hey !
Mise au rencard donc ce Walhalla fabriqué ... mais après tout, que l'ivresse des beautés navigue sur les réalités ou dans les pensées, l'effet est le même, une légèreté de trip, un jeu à surfer sur ce qui soulève et porte et coule et submerge ou détone.
L'émotion comme le son profond de ces vagues lointaines et énigmatiques que l'on entend au creux d'un coquillage, banal, ou l'émotion comme on boit la tasse.
Finalement, voilà. Écouter ce qui bat et ce qui vibre, chez soi, en conséquence du monde, chez les autres, en curiosité de choix et d'inventivité. C'est la veine d'une mine de richesses et de trouvailles de tout un chacun.
Ce blog part en goguette silencieuse. Ouioui un paradoxe. Et peut être que son silence, une presque autonomie, sera toujours en soi une parole, un mouvement et une drôle de couleur. Les mécaniques incompréhensibles.
"Ce que j'ai aimé, que je l'aie gardé ou non, je l'aimerai toujours" disait André Breton, phare des souvenirs ambrés, il avait bien raison.
"Ce que j'ai aimé, que je l'aie gardé ou non, je l'aimerai toujours" disait André Breton, phare des souvenirs ambrés, il avait bien raison.
Il n'y à rien qui puisse s'oublier de ce qui nous à fait. Un modelage sans doute patiné, mais qui reste vestige comme un cratère, le signe luxuriant et roboratif qu'un météore est passé, chamboulement émotif et physique, la belle surprise sans prévenir.
C'est presque un départ aux mouchoirs, sur le bord du quai-clavier. Trois semaines ou pour toujours jusqu'au prochain jour, à côté. Le voilà mis sur le coin de table, ce blog, comme les cahiers d'écoliers écornés ou les trousses aux crayons épuisés. Un espace décalé qui va se laisser aller.
Il n'y a jamais eu de "je" ici, mais bien sur, entre les lignes...
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C'est presque un départ aux mouchoirs, sur le bord du quai-clavier. Trois semaines ou pour toujours jusqu'au prochain jour, à côté. Le voilà mis sur le coin de table, ce blog, comme les cahiers d'écoliers écornés ou les trousses aux crayons épuisés. Un espace décalé qui va se laisser aller.
Il n'y a jamais eu de "je" ici, mais bien sur, entre les lignes...
En ceci, l'Extravagant Quotidien est un carnet, un journal (après tout, d'autres, bien inspirés, ce sont coltinés l'écriture du "journal d'un corps"), une construction de mots et d'idées nourrie des journées et des nuits - l'EQ, extraterrestre, simplement traversé et gribouillé de textes mi-achevés mi-commencés.
Et l'on se rend compte des effets ! De si peu, de quelques instants d'observation, se révèle les envies et les joies - souvent auto-surprenantes - des cosmonautes passagers.
Chaque jour (quel rythme d'enfer pour ce paradis artificiel, quand on y songe !) une banalité s'est trouvé épinglée. Par plaisir de découvrir ce que cache la fertilité d'un monde local habité de périples et d'Odyssées, et de ces objets, et de ces inoubliables rencontres.
Et l'on se rend compte des effets ! De si peu, de quelques instants d'observation, se révèle les envies et les joies - souvent auto-surprenantes - des cosmonautes passagers.
Chaque jour (quel rythme d'enfer pour ce paradis artificiel, quand on y songe !) une banalité s'est trouvé épinglée. Par plaisir de découvrir ce que cache la fertilité d'un monde local habité de périples et d'Odyssées, et de ces objets, et de ces inoubliables rencontres.
Le monde est quand même formidable. Vraiment. Aussi.
D'une image à une pensée, d'une fantasmagorie à un spectacle, en passant par des sensations ou des sourires ou des inattendus sacrément époustouflants, d'une magie noire à la divagation, des Oh! aux déséquilibres ou aux dérèglements, des simples plaisirs aux complexes désirs, finalement ce blog n'a fait que baguenauder, éméché, dans un tourbillon, à imager de sons et de mots le temps qui passe.
D'une image à une pensée, d'une fantasmagorie à un spectacle, en passant par des sensations ou des sourires ou des inattendus sacrément époustouflants, d'une magie noire à la divagation, des Oh! aux déséquilibres ou aux dérèglements, des simples plaisirs aux complexes désirs, finalement ce blog n'a fait que baguenauder, éméché, dans un tourbillon, à imager de sons et de mots le temps qui passe.
Et puis, il à été lu. Et ça "je" le sais. Et j'en suis délicieusement ému et je vous dis... merci.
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