mardi 30 avril 2013

Les belles idées, et un peu plus.

Bohyun Yonn*



Sexy certes, mais pas que. Car c'est encore cette histoire des fragmentations, une autre manière d'assembler le réel et le fantasmé. Le jeu d'ombre est une matière. Voilà un territoire démesuré, qui bouge et se libère des contraintes d'une banalité. Poupées de vues, mateurs démasqués et au delà des premières impressions.  

C'est la poésie de l’immatériel. Projeter ce que l'on ne voit pas et assembler ce qui pourrait signifier. Entre kamasutra joyeux et découpage chirurgical à glacer les sangs, on pourrait se dire qu'il y a aussi un jeu. Une manipulation des esprits et des corps, comme une drôle de médecine des réalités détournées.










lundi 29 avril 2013

Garder la part d'incertitude.




Elles sont dites comme on le pense, elles sont écrites comme on voudrait qu'elles soient lues, avec l'invention des lecteurs, ce supplément hors prévision et qui donne à la lettre une complicité sans mesures. C'est l'avantage de ce qui échappe, le jeu des incertitudes, le pari de l'autre et le plaisir des sensations sans contrôle.

L'art de la lettre est un art de l'autre. Ce n'est finalement qu'une provocation à penser, à inventer. L'art de la lettre n'est donc pas dans la lettre elle même mais entre les mots, là ou s'infiltre le regard, le fantasme et l'idée - un deuxième Monde mêlé.




Le temps réel est forcément plus long.

dimanche 28 avril 2013

L'art des studios. Sans recette.

Tuscaloosa + guest, au studio l'Usine de Thionville



C'est dans un espace à la personnalité très personnalisé (un studio rock'n roll comme on les aime), que tout cela se passe. Un lieu aux complicités temporaires et aux sensations à creuser.
C'est dans cet endroit qu'il faut trouver le son, l'idée, le truc qui fait vibrer. En invité, il faut s'infiltrer dans une histoire, tenter de contaminer, peut être parcourir un chemin de traverse, une autre manière de faire.
C'est une séduction d'un instant, d'un aspect, l'histoire sans toute l'histoire et peut être l'envie libérée.

Et dans le casque circule en stéréo ce qui c'est fait auparavant sans ce qui va se faire maintenant.
C'est là dans cet espace à la personnalité très personnalisé qu'il faut s'installer et poser un son, et peut être tout ce que l'on aime, par ailleurs.








 

Chouette ! Un nouveau site.

ça se clique, pour sur

samedi 27 avril 2013

Il faut imaginer.




Et lire entre les lignes. C'est là que cela se passe, dans l'interstice, l'entre deux mots qui ouvre un Monde que l'on peut enchanter. Entre le rire écrit et la peau ambrée décrite, il réside une imagination fertile qui se faufile comme une anguille, libre. Sexy ou poétique, fantasmée ou philosophique, savoureuse comme une pâte d'amande, c'est l’intérêt des suggestions sus dites, sous-entendus sans interdits.










silence









vendredi 26 avril 2013

Mémoires sans vérité.




Il existe des endroits aux saveurs de mémoires d'enfant. Comme un rêve que l'on croit vrai le matin, en se réveillant. 
Il est des endroits qui font partie de soi sans en être, une communauté de sensation, un sentiment de proximité, par le souhait ardent d'en garder la couleur - rester vivant.

C'est ainsi que des lieux inconnus deviennent le temps d'un regard, d'un aperçu, d'un déjà-vu, l'endroit d'une enfance et d'une odeur, l'île recrée, la seconde suspendue - et le reste superflus.




Puisqu'il n'est pas temps d'écrire.





Personnel.





jeudi 25 avril 2013

Une phrase qui claque - et un instant qui se montre en train de disparaitre, l'instant unique.




"On dirait que l'averse ouvre des fleurs sauvages...."





Air frais.









Interruption temporaire des programmes.




Et si internet ne fonctionnait pas ? Il ne resterait ici que la possibilité de laisser des images... alors... un temps, il n'y aura que des images... et oui, et oui.







Bof le titre.