Tout le monde aimerait bien savoir ce qu'il se passe derrière. Ah ! Et le derrière serait-il tout le derrière... hum, forcément forcément, mais pas mais que pas que. Ce serait trop simple de tout dévoiler sous la jupe des filles ! Quoique.
La métaphysique des avenirs ne pourrait résider uniquement dans le physique à venir - même métacanon. Il doit bien y avoir autre chose, un métatruc, la solution aux questions sempiternelles, celles qui prolongent les lendemains inconnus et qui occupe quelques nuits, métastases de l'éveil.
Le derrière alors comme métaphore, backroom aux lunes argotiques d'espoirs à poursuivre ou l'amphore des secrets d'une chasse aux trésors. Le derrière des choses. Ces choses impudiques ou confidentielles qui se faufilent dans les esprits avides ; la chose, demain, et puis après.
Le désir de comprendre. Voilà bien une belle aventure. Sans lendemains certains, remplie de journées curieuses et de plaisirs polissons à chiner du bout du nez du bout des idées. Une métempsycose singulière à travers ce qui émerveille et rend pas pareil.
Le désir de comprendre. Ce drôle de moteur qui pousse à hue et a dia le long des surprises et des espiègleries. Le désir tout court à prendre et à chevaucher sans questions - et sans saisir le derrière pourtant, cette bagatelle qui fuit et s'évade et s'enfuit, malgré tout, devant.
Oui c'est une équipée, une errance positive, à flairer le bon coup qui se camoufle dans les théories des origines ou des big bang physiques.
Une chose en creux, qui ne répond à rien si ce n'est à ce que ce n'est pas. Un aléa possible, une mécanique insaisissable, indéchiffrable et pourtant si commune, si partagée.
Et demain ? Et demain. En soi ou ailleurs, chez les autres, pourquoi pas. Il y à au bout des questions sans fins, un drôle de paradoxe. Le résultat positif d'un échec.
La poursuite d'une étoile reste la mécanique des inventions enthousiastes.
Bozon. Ou la masse des particules. L'élémentaire, le plus infime, le plus petit, le plus discret, une des clefs des voyeurs du tout. Mais demain ?
Et cette étoile qui brille. Celle que l'on voit, là-bas, celle que l'on désire ici, celle qui flotte au gré des souvenirs et des nuits - ou la simple poésie des étrangetés qui vibre dans les inconnus non encore déshabillés.
Finalement il y à cette joie. Précieuse, des journées à mater. La caresse des regards à coulisse, ceux qui s'immiscent au profond des choses remplies de cette chose. Une exploration du sensible, une expédition (le Pourquoi pas ? le pourquoi pas* !) aux vents légers et aux corps emportés et aux esprits retournés.
Et puis demain ; et puis demain ?
Oui c'est une équipée, une errance positive, à flairer le bon coup qui se camoufle dans les théories des origines ou des big bang physiques.
Une chose en creux, qui ne répond à rien si ce n'est à ce que ce n'est pas. Un aléa possible, une mécanique insaisissable, indéchiffrable et pourtant si commune, si partagée.
Et demain ? Et demain. En soi ou ailleurs, chez les autres, pourquoi pas. Il y à au bout des questions sans fins, un drôle de paradoxe. Le résultat positif d'un échec.
La poursuite d'une étoile reste la mécanique des inventions enthousiastes.
Bozon. Ou la masse des particules. L'élémentaire, le plus infime, le plus petit, le plus discret, une des clefs des voyeurs du tout. Mais demain ?
Et cette étoile qui brille. Celle que l'on voit, là-bas, celle que l'on désire ici, celle qui flotte au gré des souvenirs et des nuits - ou la simple poésie des étrangetés qui vibre dans les inconnus non encore déshabillés.
Finalement il y à cette joie. Précieuse, des journées à mater. La caresse des regards à coulisse, ceux qui s'immiscent au profond des choses remplies de cette chose. Une exploration du sensible, une expédition (le Pourquoi pas ? le pourquoi pas* !) aux vents légers et aux corps emportés et aux esprits retournés.
Et puis demain ; et puis demain ?
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