Commencer ce blog avec Léo Bassi c'est commencer un peu à coté de la musique (et alors!) mais tellement proche de ce qui réuni toutes les personnes qui veulent intégrer le fantastique, la farce et l'intelligence au quotidien qu'il n'était pas possible de ne pas succomber à la tentation.
Léo Bassi je l'ai vu à Aurillac lors du festival d'été 06 des arts de la rue. Un moment inoubliable de grotesque, de subversion, de pensée et pour tout dire un moment de beauté. Se faire surprendre à rire et à pleurer devant tant d'humanité méritait bien un message blog fusse t'il le premier.
Lors de son intervention sur la place de la mairie c'est de sa vie d'artiste et d'engagé dont il a parlé (debout sur une charette de fumier tout de même), mélant ses souvenirs aux grandes perspectives du questionnement sur l'utilité réelle de ce choix pour changer le monde ou l'éclairer.
Léo Bassi c'est du grandiloquent, du pitre (vidéo 1) , de la philosophie, du cirque, de l'histoire, du theatre de rue, de l'outrance, de la poésie (vidéo 2) et tant de choses toutes simples en apparence mais qui démontrent une plongée totale dans le monde, dans son avenir, dans l'amour et l'espoir.
Pour le coup, participer à son spectacle c'est un peu vivre Fellini (rappelez vous, ce défilé de mode pour papes dans Fellini Roma ! vidéo 3), mêler une forme de tendresse dans un champ d'ordures (Ginger and Fred et ses joggers), l'onirisme au quotidien (La Cité de Femmes), la poésie dans la banalité émerveillée à la lampe de poche, le spectaculaire du... caddie (vidéo 4), l'incongruité du détournement et puis, et puis comme trame de fond, comme inquiétude troublante, un regard sur notre présent, sur ses dérives, ses intolérances (il est Espagnol et les catholiques intégristes -franquistes ?- le détestent), sur la pensée qui change le monde, ces grands inventeurs de l'humanité, amoureux d'intelligence et d'espoir, de grandeur et de demains.
viva léo !
Léo Bassi je l'ai vu à Aurillac lors du festival d'été 06 des arts de la rue. Un moment inoubliable de grotesque, de subversion, de pensée et pour tout dire un moment de beauté. Se faire surprendre à rire et à pleurer devant tant d'humanité méritait bien un message blog fusse t'il le premier.
Lors de son intervention sur la place de la mairie c'est de sa vie d'artiste et d'engagé dont il a parlé (debout sur une charette de fumier tout de même), mélant ses souvenirs aux grandes perspectives du questionnement sur l'utilité réelle de ce choix pour changer le monde ou l'éclairer.
Léo Bassi c'est du grandiloquent, du pitre (vidéo 1) , de la philosophie, du cirque, de l'histoire, du theatre de rue, de l'outrance, de la poésie (vidéo 2) et tant de choses toutes simples en apparence mais qui démontrent une plongée totale dans le monde, dans son avenir, dans l'amour et l'espoir.
Pour le coup, participer à son spectacle c'est un peu vivre Fellini (rappelez vous, ce défilé de mode pour papes dans Fellini Roma ! vidéo 3), mêler une forme de tendresse dans un champ d'ordures (Ginger and Fred et ses joggers), l'onirisme au quotidien (La Cité de Femmes), la poésie dans la banalité émerveillée à la lampe de poche, le spectaculaire du... caddie (vidéo 4), l'incongruité du détournement et puis, et puis comme trame de fond, comme inquiétude troublante, un regard sur notre présent, sur ses dérives, ses intolérances (il est Espagnol et les catholiques intégristes -franquistes ?- le détestent), sur la pensée qui change le monde, ces grands inventeurs de l'humanité, amoureux d'intelligence et d'espoir, de grandeur et de demains.
viva léo !
aa
en écoutant sonny rollins avec don cherry :
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