mais oui. l'esprit ouvert par les gourmandises de tous les instants. hop hop hop. l'art est pour vous, l'art est à nous. il s'en passe à tous les coins de rue, eau et gaz à tous les étages, le confort moderne dans toutes les têtes.
c'est tout de même dans cette soif Haddockienne, cette irrésistible envie de se laisser aller à l'intelligence, à l'émerveillement, à l'émotion, que réside la joie de vivre, non ? enfin un fucking bien être dans tous les sens des termes. et sur scène (ou en train d'écrire ? faudrait demander aux amis Egloff et Fourchard) c'est l'absolument moment, le nec plus ultra, le too much, le fin du fin, le nirvana du fucking bien être.
ce billet ne sert à rien. comme l'Art. mais c'est écrit en écoutant les girls du Sunset et en attendant des nouvelles des dlp girls (les filles de derrière la porte pour les incultes) de Créteil....
«Anne, ma soeur Anne, ne vois-tu rien venir?» – Et la soeur Anne lui répondait: – «Je ne vois rien que le soleil qui poudroie et l’herbe qui verdoie.»
aa
et le plaisir, aussi, dans la vie, aussi, c'est de voir ces filles ultra classes dans le LadyQuartet de Rhoda Scott.... et dans le monde tellement macho du jazz.
c'est tout de même dans cette soif Haddockienne, cette irrésistible envie de se laisser aller à l'intelligence, à l'émerveillement, à l'émotion, que réside la joie de vivre, non ? enfin un fucking bien être dans tous les sens des termes. et sur scène (ou en train d'écrire ? faudrait demander aux amis Egloff et Fourchard) c'est l'absolument moment, le nec plus ultra, le too much, le fin du fin, le nirvana du fucking bien être.
ce billet ne sert à rien. comme l'Art. mais c'est écrit en écoutant les girls du Sunset et en attendant des nouvelles des dlp girls (les filles de derrière la porte pour les incultes) de Créteil....
«Anne, ma soeur Anne, ne vois-tu rien venir?» – Et la soeur Anne lui répondait: – «Je ne vois rien que le soleil qui poudroie et l’herbe qui verdoie.»
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et le plaisir, aussi, dans la vie, aussi, c'est de voir ces filles ultra classes dans le LadyQuartet de Rhoda Scott.... et dans le monde tellement macho du jazz.
"Qui ça ? Qui dit qu'ils vont battre les Saints !", le cri de ralliement des Saints qui viennent de gagner le Superbowl à Miami.
comme certains concerts. comme certains spectacles. voilà. il y à des jours où tout semble rouler à merveille. le conte de fée qui se met en place dans le sens espéré, dans le droit chemin d'un château en Espagne. c'est quand même incroyable. et le plus drôle c'est que parfois on le vit éveillé. dés la première note, dés la première parole dite sur un plateau, on sent que "c'est dedans". un grand mystère. le reste, tout le reste coule de source. pour l'heure qui suit, c'est le monde parfait, le monde de Candide. ces moments de scènes sont des moments d'Art. quoiqu'il soit joué on sent une énergie créative qui circule. quel étrange phénomène tout de même ! un prodige qui surprend à chaque coup. ces concerts se révèlent des rêves éveillés. Tout est bien, tout va bien, tout va le mieux qu'il soit possible. mais le plus étonnant c'est que cet état concerne aussi le corps. quel que soit le geste, le mouvement, tout est musique, tout "est dedans". on les recherche ces instants. il n'y à pas vraiment de recette. c'est inattendu. c'est comme çà. à prendre. là/de suite.
attendons de voir si les dlp girls vivent ces chouettes trucs à Créteil !
aa
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