L'ascenseur sans freins, l'élastique qui rompt, le parachute qui s'emmêle, l'escalier qui vous embrasse, les dents qui raclent, le skate qui s'envole, le sur-virage, la fausse note dans le silence qui la sertie, la porte qui vous claque dehors, la fiancée qui vous lourde, l'éclipse totale qui passe derrière les nuages, la tartine qui-tombe-toujours-du-coté-du-beurre*, la panne de ce que vous voulez, le coup de la table contre l'orteil, et, et, et.... la perte de tous vos fichiers informatiques. L'image en tête ? Terrible, non ?
Et pourtant ce n'est que cela....
Et maintenant, et maintenant ?
C'est pas la nuit noire non plus. Recommencer c'est bien dans le style de l'improvisation. Garder en présent la mémoire de ce qui reste en s'appuyant sur ce qui s'oublie. 60 Giga. Moins il en subsiste et plus c'est dur à avaler.
Ah ? ... le poids de la disparition serait-il issue de ce que l'on essaie de se rappeler. Tant que tout est là .... mais, dés que cela s'évanouit....
Paradoxe et encombrements.
Toujours est-il que les Go qui ne pèsent pas une cacahuète occupent dorénavant tout l'espace. Comme un silence dans un orage de bruit.
Rien à voir, mais. Iannis Xenakis avait tenté de faire sentir le vide dans un amas de sons * (Pithoprakat !). Macache et désespoir pour récupérer 60 Giga envolés (aaaaaargh !) en parlant musique, musique, musique, mais quand même, ça passionne de savoir que l'on peut rechercher partout le vide par le plein ; faire sentir l'absence par la présence. En musique itou donc. Vibration en creux. Un relief sonore, une caverne camouflé, un secret d'oreille.
Rackham le Rouge pour Iannis Xenakis.
Décidément, en musique contemporaine, les liens sont étroits entre vision philosophique, conception scientifique, sensibilité émotionnelle, vibration corporelle et expérience, audace, révolution, corps en feu.
Mais encore... rien à voir, rien à voir avec les menus problèmes du quotidien d'utilisateur d'ordinateur (argggggh!). Circulez....
Et puis d'ailleurs ! Quelle illusion se fut que de croire au grenier les infos 0/1. En un clic tout disparait. Un feu d'appartement silencieux. Crime parfait des âmes pour qui il ne reste que le souvenir de ce qui à du être.
Colonel Moutarde ! Rendez moi mes Octets !
Et pourtant ce n'est que cela....
Et maintenant, et maintenant ?
C'est pas la nuit noire non plus. Recommencer c'est bien dans le style de l'improvisation. Garder en présent la mémoire de ce qui reste en s'appuyant sur ce qui s'oublie. 60 Giga. Moins il en subsiste et plus c'est dur à avaler.
Ah ? ... le poids de la disparition serait-il issue de ce que l'on essaie de se rappeler. Tant que tout est là .... mais, dés que cela s'évanouit....
Paradoxe et encombrements.
Toujours est-il que les Go qui ne pèsent pas une cacahuète occupent dorénavant tout l'espace. Comme un silence dans un orage de bruit.
Rien à voir, mais. Iannis Xenakis avait tenté de faire sentir le vide dans un amas de sons * (Pithoprakat !). Macache et désespoir pour récupérer 60 Giga envolés (aaaaaargh !) en parlant musique, musique, musique, mais quand même, ça passionne de savoir que l'on peut rechercher partout le vide par le plein ; faire sentir l'absence par la présence. En musique itou donc. Vibration en creux. Un relief sonore, une caverne camouflé, un secret d'oreille.
Rackham le Rouge pour Iannis Xenakis.
Décidément, en musique contemporaine, les liens sont étroits entre vision philosophique, conception scientifique, sensibilité émotionnelle, vibration corporelle et expérience, audace, révolution, corps en feu.
Mais encore... rien à voir, rien à voir avec les menus problèmes du quotidien d'utilisateur d'ordinateur (argggggh!). Circulez....
Et puis d'ailleurs ! Quelle illusion se fut que de croire au grenier les infos 0/1. En un clic tout disparait. Un feu d'appartement silencieux. Crime parfait des âmes pour qui il ne reste que le souvenir de ce qui à du être.
Colonel Moutarde ! Rendez moi mes Octets !
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