C'est reparti pour un tour de circuit. Ouch !
Pas de final cut aujourd'hui, pas encore, mais plutôt le début d'un grand huit : "Pince de Crabe", le jeune public des Fruits du hasard. Résidence tout aout pendant que d'autres profiterons de la plage, et semaine propédeutique en ce moment même pour écrire les thèmes et définir des pistes sonores possibles.
Excitante. Voilà bien une période de création excitante. Inventer, laisser libre court aux sons, trouver un style pour emballer, se laisser séduire par les idées. C'est maintenant. Tout est ouvert. Rien n'est limité, rien n'est impossible, rien n'est à ne pas faire. Le "plateau" plus tard décidera par les contraintes de temps et de volumes ce qui est fondé ou ce qui ne l'est pas. On verra si l'esprit touché du doigt ces quelques jours est dans la ligne de ce qui est dit et si cela sert le spectacle.
Pour l'instant, la musique est un objet autonome. Un brouillon miraculeux rempli d'impudence et de toupet. Avec cette idée que les oreilles non encore "culturelles" des enfants sont prêtes à tout accepter. Sur ! Ce seront les parents le problème.
En musique on se demande qui doit éduquer qui - qui est détenteur d'une réaction spontanée et sans a priori au son, et qui l'enferme dans une grille de lecture codifiée et historique.
La musique "pour enfants" (!) peut/doit être riche. Tout est permis.
Comme un ciel vert et un pommier bleu.
C'est une euphorie alors de laisser aller les inventions sonores là où elles le souhaitent en se donnant également le plaisir d'initier des plans acoustiques s'adressant en sous main, en loucedé, aux adultes récalcitrants. Ils entendront ce qu'il ne vont que rarement entendre. Double effet kiss cool....
Le son libre, le ciel orange, la mer verte et les crabes comme on veut.
Un bac à sable. Une nuit sous les draps à chasser les imaginaires.
Pas de final cut aujourd'hui, pas encore, mais plutôt le début d'un grand huit : "Pince de Crabe", le jeune public des Fruits du hasard. Résidence tout aout pendant que d'autres profiterons de la plage, et semaine propédeutique en ce moment même pour écrire les thèmes et définir des pistes sonores possibles.
Excitante. Voilà bien une période de création excitante. Inventer, laisser libre court aux sons, trouver un style pour emballer, se laisser séduire par les idées. C'est maintenant. Tout est ouvert. Rien n'est limité, rien n'est impossible, rien n'est à ne pas faire. Le "plateau" plus tard décidera par les contraintes de temps et de volumes ce qui est fondé ou ce qui ne l'est pas. On verra si l'esprit touché du doigt ces quelques jours est dans la ligne de ce qui est dit et si cela sert le spectacle.
Pour l'instant, la musique est un objet autonome. Un brouillon miraculeux rempli d'impudence et de toupet. Avec cette idée que les oreilles non encore "culturelles" des enfants sont prêtes à tout accepter. Sur ! Ce seront les parents le problème.
En musique on se demande qui doit éduquer qui - qui est détenteur d'une réaction spontanée et sans a priori au son, et qui l'enferme dans une grille de lecture codifiée et historique.
La musique "pour enfants" (!) peut/doit être riche. Tout est permis.
Comme un ciel vert et un pommier bleu.
C'est une euphorie alors de laisser aller les inventions sonores là où elles le souhaitent en se donnant également le plaisir d'initier des plans acoustiques s'adressant en sous main, en loucedé, aux adultes récalcitrants. Ils entendront ce qu'il ne vont que rarement entendre. Double effet kiss cool....
Le son libre, le ciel orange, la mer verte et les crabes comme on veut.
Un bac à sable. Une nuit sous les draps à chasser les imaginaires.
1 commentaire:
J'aime beaucoup l'ambiance de ton univers artistique et musical , Antoine.Au plaisir de te croiser sur un autre festival avec ma fille Sacha qui adore votre groupe
lô
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