Un quart ? Pas tout à fait. Mais un quart du mois d'aout, ah ca oui. Pince de Crabe se dégrossie. Une maquette dont il faudra ensuite limer les barbilles. Un mécano complexe où trois dimensions (son, visuel et théâtre) se télescopent en cherchant une synergie qui les sublimeront.
Pour le moment il s'agit plus d'un Pacman de jeune public que d'une élégante et aérienne ballerine - malgré les atours de notre sirène ; cependant encore bien patchée de transducteurs.
Tout le spectacle se construit "comme si". Images pixelisées, sons abruptes et parfois plus proches de l'artefact, comédie sans vrais "top", rythme global hypothétique.
Mais c'est le principe. La règle du jeu d'un montage alliant haute technologie (tout tourne sur 2 projecteurs HD et 4 ordinateurs, une dizaine d'appareils électroacoustiques, des capteurs de mouvement de ci de là) et sensibilité singulière (un jeu des comédiens lié au cinéma, des actions qui trouvent leur reflets dans l'image, sans parler des interactions au millimètre et des voix sonorisées).
C'est une étape de repérage et de prise de décision. On éssaie, si ca marche on garde, si on garde on finalisera plus tard. Viendra ensuite le temps des articulations, des crossfades, ruptures et autres "top" de repère. Et enfin seulement le jeu, le sens, le rythme, l'allure, la finesse, l'art de faire prendre les vessies pour des lanternes. Et le plaisir de faire vivre une odyssée imaginaire de quelques minutes.
Certains ont la chance de venir participer un temps à ces coulisses de création. Ce sont des instants particuliers. Entre impatience, ennui, fébrilité, concentration, complicité, soulagement... tant de sentiments mêlées dans une petite boite noire du mois d'aout 2010. De ce sombre entrepot d'idées sortira - peut être ; certainement ! - un spectacle qui emballera les pensées et qui tout simplement nous donnera envie de donner.
(et encore encore encore ! plein de photos ici)
Pour le moment il s'agit plus d'un Pacman de jeune public que d'une élégante et aérienne ballerine - malgré les atours de notre sirène ; cependant encore bien patchée de transducteurs.
Tout le spectacle se construit "comme si". Images pixelisées, sons abruptes et parfois plus proches de l'artefact, comédie sans vrais "top", rythme global hypothétique.
Mais c'est le principe. La règle du jeu d'un montage alliant haute technologie (tout tourne sur 2 projecteurs HD et 4 ordinateurs, une dizaine d'appareils électroacoustiques, des capteurs de mouvement de ci de là) et sensibilité singulière (un jeu des comédiens lié au cinéma, des actions qui trouvent leur reflets dans l'image, sans parler des interactions au millimètre et des voix sonorisées).
C'est une étape de repérage et de prise de décision. On éssaie, si ca marche on garde, si on garde on finalisera plus tard. Viendra ensuite le temps des articulations, des crossfades, ruptures et autres "top" de repère. Et enfin seulement le jeu, le sens, le rythme, l'allure, la finesse, l'art de faire prendre les vessies pour des lanternes. Et le plaisir de faire vivre une odyssée imaginaire de quelques minutes.
Certains ont la chance de venir participer un temps à ces coulisses de création. Ce sont des instants particuliers. Entre impatience, ennui, fébrilité, concentration, complicité, soulagement... tant de sentiments mêlées dans une petite boite noire du mois d'aout 2010. De ce sombre entrepot d'idées sortira - peut être ; certainement ! - un spectacle qui emballera les pensées et qui tout simplement nous donnera envie de donner.
(et encore encore encore ! plein de photos ici)
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