dimanche 29 août 2010

"Si je veux prendre une photo, je la prends, peu importe ce que c’est."



Nan Goldin.

Nan Goldin, ou la photographe sur vie. A vif et directement. Couleurs saturées, chaleurs moites, underground affectifs, lieux interlopes et un grand mystère de force de vivre qui transpire, qui irrigue, qui enveloppe. Comme un inaltérable sens du présent.

c'est cliquable, bien sur, bien sur....

C'est une photographe de tous les jours, du banal sublime. Une vision de la proximité, gros plans d'à cotés, de tous les recoins d'une humanité qui survie, sans outrages à la vérité. Une couleur rock aussi. Et l'histoire d'une ballade. Un reportage incandescent d'une normalité journalière ("The ballad of sexual dependency" qui mets sur diapositives 16 ans de vie).

c'est cliquable, forcément....

Nan Goldin*. Ces proches, ces amis, sa propre histoire. Sur des jaunes délavés, traces figées d'histoires intimes, comme un reste de photo ancienne. Nan Goldin et la musique (Velvet, Nick Cave, Björk) ; en toile de fond permanente le rock granuleux, échos au grain punk de ces photographies. Lieux marginaux, profondeur de sentiments abruptes, sexe et violence, passion certainement. L'expérience et l'expérimentation. L'empreinte des recherches, d'une compréhension, d'une appréhension direct de l'entourage et merveilleusement de l'universel. La joie de voir au delà.

c'est cliquable, ah çà....

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