jeudi 23 septembre 2010

bosses et cabosses.


Comme trainer des casseroles. Histoires de vies, d'avant, de retrouvailles ou d'oublis. Une bosse ou une cabosse, une trace ou une faille. Bah. Ça n'en fait pas une vieille guimbarde. Mais tout de même cette histoire de bosses... une carte du ciel des événements. Mais oui. C'est cela. La géographie des jours qui s'empilent ou comment s'y retrouver. Tracer le chemin et percevoir les perspectives. C'est une somme, pas un poids. Une élévation par la bosse ! Le défaut de ligne comme preuve des corps libres. La grande et la petite dramaturgie des aventures en cours et anciennes. Étrange alors. Ce n'est plus le parfait qui brille mais la singularité, ce n'est plus le lisse qui l'emporte mais le cabotinage des bosses. Grande casserole ou petite casserole, tout une aventure, de bosse en bosse, de cabosse en cabosse, tranquillement, en laissant ses yeux vaguer au gré des étoiles, grains de beauté et jolis dessins. Un butinage d'empreintes, comme un doux présage.

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