samedi 4 septembre 2010

Etranges correspondances....

cliquable, oui, cliquable

Encore Björk. Bah oui. Mais une étonnante coïncidence aussi. Il y à un an sortait un album de chanson française de Thomas Milanese. Une de ses chansons était arrangé par Pierre Boespflug, "Ballade de lune". Et voilà que ces bois derrières ressemblent à ces bois devant (et oui, le saxophone fait partie des bois ; un loup dans les bois ? la famille Des Bois ?). Et la preuve :


Et voilà. Tout de même. Peut être n'est ce qu'une illusion. la mémoire des choses se trouve souvent recomposé par le fil du temps. Au bout du compte on peut mélanger les genres et construire un tout autre passé. Tant mieux.
Les "cuivres", la section de cuivre (appellation générique, argotique, ici, car en vrai on peut trouver que cela marche moins bien. A mort les vrais cuivres et vive les cuivres !).
L'ensemble de saxophone, alors, est un appareillage pour gros grain. Du moins dans sa conception non classique. Plutôt jazz (conception free - même sans hurlements / et là on rêve : serait ce Oliver Lake** au soprano !?! Et bien oui*, argh ! Les grands esprits sont fait pour se télescoper un jour / et serait-ce le "World Saxophone Quartet " en plus ? Ben oui* / existe aussi avec tout le confort moderne 2006).

Une escorte pour émotion physique. Un méta-alliage de cuivre(s), avec, au fond des tuyaux une vibration unique aux vents. C'est l'art de l'air. La physique des fluides au service des corps.
C'est sans doute là que c'est opéré la mutation d'une chanson locale en échos chez Björk. Le pouvoir d'émotion sui generis des carrosses de cuivres est en cause Colonel Moutarde ! Une couleur indélébile qui bave sur les mémoires...

ps : ca marche avec le vin ? ou la guitare ? Et viva l'acoustique !

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