Parfois oui, parfois non. L'obsolescence n'est pas inscrite dans la pierre. Étrange. Car du coup, ce qui dure peut a priori devenir obsolète mais si cela dure c'est que cela résiste à l'obsolescence (PMU 34-3 Chap.2). Bon. Doit y avoir deux type d'obsolescence. Et encore, pas sur. Laissons François-Auguste-René Rodin de coté et tâtons le terrain des passions.
L'obsolescence de passion ? Allons bon, c'est le propre de la passion. Un coup de trafalgare et puis s'en va. Mais encore. Ce n'est pas une vraie obsolescence, juste une transformation. Quoique. Il reste toujours un élan. Une empreinte, une trace (une cicatrice ?). Et puis quoi.
Prenons John William Coltrane*. Un exemple. On adore, on plonge, on s'enflamme, on se consume, on ne jure plus que par que, on s'étourdit, on. Et puis, le temps passe. D'autres passions passent. L'obsolescence guette. Alors.
Mais non. Le passage de ces folies à laissé un creux, une entaille, une bosse. Impossible de s'en défaire, hein. On n'écoute plus mais on ne peut oublier ce que l'on y à laissé. Tout. Et surtout. Le reste en dépend. Sans le savoir. Presque par hasard. Comprenne qui peut. Une marque à jamais, un cabossage de mémoire. Un moule pour futurs expériences gigognes.
Alors l'obsolescence, elle est où ? Mais ce n'est qu'un exemple. Le reste suit-il le princeps découvert ?
Et voilà les temps qui changent. Renversement de valeur et l'ancien qui rapplique avec sa nouvelle exaltation. L'obsolète qui se remet en selle. Rien n'est perdu. Mais surtout, oh, ah, rien ne s'écoute de la même manière. Un autre François-Auguste-René Rodin*, un autre John William Coltrane*. Rien à voir. Rien à voir. Le même mais on n'avait rien vu. Autre chose est encore là. L'intime à vue.
Et alors hop (!), on se repasse la passion* (et Eric Dolphy né à Los Angeles le 20 juin 1928, mort à Berlin le 29 juin 1964). Sans pli, voici le renouveau des sentiments. Rien n'est perdu. Décidément. Ca rassure. Ca susurre que oui, et oui, tout est encore sensible. Ah. Le coup de la panne.
Mais. Ainsi. "Je" devenu (la maj. tombe bien, tiens), au fil du temps, au fil des érosions, au fil des obsolescences, un beau chemin taillé, une empreinte durcie, un sceau d'existence, tout est là, tout est resté, ce n'est pas un grenier, plutôt un château, tout est bien là, de creux en creux, réarrangé par les jours, Coltrane, Rodin, mais tous les autres, et le reste, et demain.
L'obsolescence de passion ? Allons bon, c'est le propre de la passion. Un coup de trafalgare et puis s'en va. Mais encore. Ce n'est pas une vraie obsolescence, juste une transformation. Quoique. Il reste toujours un élan. Une empreinte, une trace (une cicatrice ?). Et puis quoi.
Prenons John William Coltrane*. Un exemple. On adore, on plonge, on s'enflamme, on se consume, on ne jure plus que par que, on s'étourdit, on. Et puis, le temps passe. D'autres passions passent. L'obsolescence guette. Alors.
Mais non. Le passage de ces folies à laissé un creux, une entaille, une bosse. Impossible de s'en défaire, hein. On n'écoute plus mais on ne peut oublier ce que l'on y à laissé. Tout. Et surtout. Le reste en dépend. Sans le savoir. Presque par hasard. Comprenne qui peut. Une marque à jamais, un cabossage de mémoire. Un moule pour futurs expériences gigognes.
Alors l'obsolescence, elle est où ? Mais ce n'est qu'un exemple. Le reste suit-il le princeps découvert ?
Et voilà les temps qui changent. Renversement de valeur et l'ancien qui rapplique avec sa nouvelle exaltation. L'obsolète qui se remet en selle. Rien n'est perdu. Mais surtout, oh, ah, rien ne s'écoute de la même manière. Un autre François-Auguste-René Rodin*, un autre John William Coltrane*. Rien à voir. Rien à voir. Le même mais on n'avait rien vu. Autre chose est encore là. L'intime à vue.
Et alors hop (!), on se repasse la passion* (et Eric Dolphy né à Los Angeles le 20 juin 1928, mort à Berlin le 29 juin 1964). Sans pli, voici le renouveau des sentiments. Rien n'est perdu. Décidément. Ca rassure. Ca susurre que oui, et oui, tout est encore sensible. Ah. Le coup de la panne.
Mais. Ainsi. "Je" devenu (la maj. tombe bien, tiens), au fil du temps, au fil des érosions, au fil des obsolescences, un beau chemin taillé, une empreinte durcie, un sceau d'existence, tout est là, tout est resté, ce n'est pas un grenier, plutôt un château, tout est bien là, de creux en creux, réarrangé par les jours, Coltrane, Rodin, mais tous les autres, et le reste, et demain.
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