C'est le moment de scanner les futurs rendez vous de l'année... et parmi ceux ci, ceci. "Electromania". Un coin de radio - public - pour l'électroacoustique, la musique mixte (à l'image des mélanges avec Barre Phillips dans l'émission du 31 août), la composition digitale, analogique, électrique.
A minuit, mais minuit justement c'est la belle heure. Une écoute nocturne en visitant autre chose. Et puis, soudain, rester saisi par un son, une rupture ou une disparition phonique inattendue.
La radio à minuit, c'est la radio de quelques passionnés, un petit bout de collectivité aux oreilles disponibles. Il ne doit pas y en avoir beaucoup, et pourtant c'est aussi là que cela se passe. L'isolement de communion. Et la musique d'aujourd'hui, et les tentatives d'autre chose.
Mardi zéro/un, 0h-1h, la nuit des chimères numériques. C'est tard, c'est bien.
Une navigation dans les sons électroniques, électroacoustiques, dans les singulières innovations, l'improvisation ou la composition la plus abscons. Mais on y parle aussi de free jazz, de pédales, de transformation du son en temps réél, d'année 60, de musique "commerciale" (!), d'archétypes actualisés, d'extraits vocaux, de délires magnifiques (le solo d'éponge-sur-vitre dans l'émission du 30 août - l'inspiration Alfred Spirli ?), d'improvisation... tout un univers rassemblé, préparé pour le déboitement des idées recues.
A minuit on à le temps. Il est à soi, il est pour soi.
C'est le moment ou jamais de tenter le diable des inconnus. On ne cherche plus rien. Et puis quoi. De tout manière pour aujourd'hui c'est trop tard et pour demain on verra bien. Alors dans ce no man's land économique et social la place est libre pour se laisser aller en terra incognita. Là où la musique est d'une autre manière partout. Il suffit juste de sombrer avec Cédric Peyronnet et ses paysages sonores repeints ou dans les ambiances suspendues, limite world, de Wildbirds & Peacedrums, ou encore, encore dans les variations insoupçonnées et polémiques (oh oui) du piano (ultra classique) de Quentin Sirjacq. Pour voir. Sans hiérarchie. Et pour choisir ce que l'on retiendra. Les retournements de l'esprit, à certains moments.
Minuit.
A minuit, mais minuit justement c'est la belle heure. Une écoute nocturne en visitant autre chose. Et puis, soudain, rester saisi par un son, une rupture ou une disparition phonique inattendue.
La radio à minuit, c'est la radio de quelques passionnés, un petit bout de collectivité aux oreilles disponibles. Il ne doit pas y en avoir beaucoup, et pourtant c'est aussi là que cela se passe. L'isolement de communion. Et la musique d'aujourd'hui, et les tentatives d'autre chose.
Mardi zéro/un, 0h-1h, la nuit des chimères numériques. C'est tard, c'est bien.
Une navigation dans les sons électroniques, électroacoustiques, dans les singulières innovations, l'improvisation ou la composition la plus abscons. Mais on y parle aussi de free jazz, de pédales, de transformation du son en temps réél, d'année 60, de musique "commerciale" (!), d'archétypes actualisés, d'extraits vocaux, de délires magnifiques (le solo d'éponge-sur-vitre dans l'émission du 30 août - l'inspiration Alfred Spirli ?), d'improvisation... tout un univers rassemblé, préparé pour le déboitement des idées recues.
A minuit on à le temps. Il est à soi, il est pour soi.
C'est le moment ou jamais de tenter le diable des inconnus. On ne cherche plus rien. Et puis quoi. De tout manière pour aujourd'hui c'est trop tard et pour demain on verra bien. Alors dans ce no man's land économique et social la place est libre pour se laisser aller en terra incognita. Là où la musique est d'une autre manière partout. Il suffit juste de sombrer avec Cédric Peyronnet et ses paysages sonores repeints ou dans les ambiances suspendues, limite world, de Wildbirds & Peacedrums, ou encore, encore dans les variations insoupçonnées et polémiques (oh oui) du piano (ultra classique) de Quentin Sirjacq. Pour voir. Sans hiérarchie. Et pour choisir ce que l'on retiendra. Les retournements de l'esprit, à certains moments.
Minuit.
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