La Soupe Cie est en résidence une semaine au TGP de Frouard. Un billet informatif. Ici. Ça changera des textes abscons, fatras sonores, images indécentes et autres fariboles sur le temps qui passe de ce blog. Ah mais oui. La Soupe, compagnie de "marionnettes, musique et théâtre", ouvrira le 17 septembre vers 19h30 la saison de ce lieu qui l'accueil pour trois ans.
Une ouverture de saison. Voilà un drôle d'exercice de style pour une Cie que de déboulonner ces présentations si souvent fastidieuses et anesthésiantes.
Donc. L'occupation. Le squat. La conquête pittoresque et cocasse du vieux rafiot de Frouard. On y est , on bouge plus. Le synopsis a le mérite d'être clair. Le résultat aussi, puisque au final tout ce bazar commandé jouera le rôle de remède de cheval pour tenir tout le monde éveillé. Un plastiquage.
En faire beaucoup, vite et fort. Déborder aussi mais avec une montée en puissance (comme ici Threadgill le fabuleux ; commencer à 8:00) - ce n'est plus le temps des sauvages enfin.
Faire monter la pression comme cela, tout doucement, tel un striptease du tonnerre, en jouant de cette frustration complice et de l'insatiable envie qui sonne le branle-bas. D'ailleurs. D'où cela vient-il ? Et si cela allait vers. Réveiller une pulsation motrice, créatrice, roborative.
Donner envie, voilà bien un jolie projet. Une ambition de l'un à l'autre. Pour. Et flottant dans les yeux de. Cette histoire d'embarquement peut tenir à cœur. C'est une utopie réalisable, à porté de geste. D'où ce mouvement, cette allure, cette vibration et ce tout qui s'enflamme, et le reste qui se réalise. Creer de désir/créer le désir. Une belle paire d'enfer. La vache.
"Ouverture de saison". On dirait vraiment le formulaire D234-9 ter d'une quelconque antenne administrative de quartier. Que fait-on avec cela sinon un avion de papier ?
Une ouverture de saison. Voilà un drôle d'exercice de style pour une Cie que de déboulonner ces présentations si souvent fastidieuses et anesthésiantes.
Donc. L'occupation. Le squat. La conquête pittoresque et cocasse du vieux rafiot de Frouard. On y est , on bouge plus. Le synopsis a le mérite d'être clair. Le résultat aussi, puisque au final tout ce bazar commandé jouera le rôle de remède de cheval pour tenir tout le monde éveillé. Un plastiquage.
En faire beaucoup, vite et fort. Déborder aussi mais avec une montée en puissance (comme ici Threadgill le fabuleux ; commencer à 8:00) - ce n'est plus le temps des sauvages enfin.
Faire monter la pression comme cela, tout doucement, tel un striptease du tonnerre, en jouant de cette frustration complice et de l'insatiable envie qui sonne le branle-bas. D'ailleurs. D'où cela vient-il ? Et si cela allait vers. Réveiller une pulsation motrice, créatrice, roborative.
Donner envie, voilà bien un jolie projet. Une ambition de l'un à l'autre. Pour. Et flottant dans les yeux de. Cette histoire d'embarquement peut tenir à cœur. C'est une utopie réalisable, à porté de geste. D'où ce mouvement, cette allure, cette vibration et ce tout qui s'enflamme, et le reste qui se réalise. Creer de désir/créer le désir. Une belle paire d'enfer. La vache.
"Ouverture de saison". On dirait vraiment le formulaire D234-9 ter d'une quelconque antenne administrative de quartier. Que fait-on avec cela sinon un avion de papier ?
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