Il ne l'ont pas choisi, ni Ping ni Pong, mais c'est comme ça. Complétement par hasard, la surprise des accidents imprévisibles, comme jackpot. Ping allait là, et Pong se trimballait par ici, rien ne prédisposait, et non, pas les ressemblances visibles, pas les surfaces conjointes ou les directions super-réactives. Mais voilà, la rencontre face à face et l'arc des abracadabresques et fantasques et insolites et déroutantes circonstances. Le heureux, le hasard, le temps à l'affaire et l'attirance, le jeu, de l'amour et du hasard. Pong et Ping, Ping et Pong face à face. Et le match. Ah les crâneurs. Pas un, ni Pong ni Ping à lâcher le risque. C'est drôle tout de même comme tribulation sur le brin (de rien, de rien). Comme les nuisettes, ces nuits sur le fil, tremblantes d'imaginations fertiles. Ah ? Mais oui. Rien à faire ici ? Mais si. Tout est en équilibre. Ping et Pong face à face, duel de western et spaghetti de Disney*. Mais pour l'instant, Ping et Pong ! Faut aller l'chercher le score. Même ancien, même vieux, même suranné, le jeu en vaut la chandelle. The winner is (with the looser - c'est cool) et the looser (emporte le winner - cool aussi, et puis hey man ça tombe rudement bien). No trouble. Pas de problème, ce n'est qu'un jeu. Inventé d'ailleurs en 72 sur Atari*. Une référence de la rencontre fiévreuse de salon (mais pas le plus vieux, comme quoi, en cherchant bien on peut réinventer* en terme de jeu, ou autres...question de style). Pas très loin de la Lune et des premiers pas* au milieu des ailleurs rêveurs (69-72, seulement 3 ans. mais alors ?! il était plus facile d'envoyer Saturne V* là bas que de faire du ping-pong ici ? hum).
Petits et grands défis, mais l'histoire marqué par les découvertes, les audaces, les ludiques conquêtes de l'esprit. Petits et grands Colomb pour une vie qui bouge. Quand même.
Et Ping et Pong. Las de jouer, partis se coucher, rêveurs des suites et des match à venir. On ne sait jamais. Nuisettes et nuits de jeu font bon ménage.
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