Ça ce clique.... bien sur
Excusez moi ma belle, je ne vous avait pas vu. Ça peut arriver quoi ! Et ce rire des belles heureuses de vivre. La soif au corps et les simples plaisirs. Un air frais et la balade au creux des sensations.
Flottantes, passagères et étourdissantes de rien, on ne dirait pas que le monde s'envole, mais ce qui le retient vient déjà de se détacher.
Les belles à l'air, en chemin, sur un coin de soleil ou sous un coin de lune, une brise légère, et l'univers qui bascule.
Et pourtant c'est l'hiver, et pourtant il y à comme un coin de ciel vert, mais quand même, on jurerait bien que ce n'est plus pareil, un tremblement, un bouleversement, un dérèglement le temps d'une chanson, le temps d'une vision, le temps des évanescences, filantes, fuyantes, d'une belle enivrante.
Flottantes, passagères et étourdissantes de rien, on ne dirait pas que le monde s'envole, mais ce qui le retient vient déjà de se détacher.
Les belles à l'air, en chemin, sur un coin de soleil ou sous un coin de lune, une brise légère, et l'univers qui bascule.
Et pourtant c'est l'hiver, et pourtant il y à comme un coin de ciel vert, mais quand même, on jurerait bien que ce n'est plus pareil, un tremblement, un bouleversement, un dérèglement le temps d'une chanson, le temps d'une vision, le temps des évanescences, filantes, fuyantes, d'une belle enivrante.
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