mais oui, ca ce clique, si la fréquentation ne fait point peur
Un peu, un peu. Ben quoi, bah oui, enfin des fois. Boaf. On n'y peut on n'y peut, c'est vrai quoi. Comment côtoyer l'art sans.... et les frissons de la scène sans.... ou l'écriture nocturne sans.... et encore, ce n'est pas sans.... que l'on se lance dans les chemins turlututu de l'esthétique et des circonvolutions artistiques. Ben tiens. Sans ambages et pour l'aubade pour le panache pour la provocation pour la saveur le gout de ça et les emportements le plaisir du mot la consommation sans réserve des réservés et le train de vie paillard et bien pour tout cela on n'y peut rien on n'y peut rien il faut se jeter se farcir se satisfaire se complaire patauger barboter se lover se vautrer dans un blog pornographe.
Spécial dédicace !
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