mardi 8 février 2011

Fric-frac des certitudes.



Vol des idées. Ça se bouscule au portillon des pensées libérées. Une fois ouvertes les portes à grandes sensations le vent défie les intelligences de l'ameublement. Le corps à la manœuvre et l'esprit sac à dos, bascule bidule, et rien pour l'entraver et rien pour se retourner. C'est une intuition fébrile, un serpent de mer, une lame de fond fertile d'envies d'inventions de prescience, d'une présence, finalement le banal des merveilles au fil des yeux devenus grands ouverts.

Iceberg ! Iceberg ! devait crier le veilleur inutile barrière aux suites déjà décidés. Et qu'importe le naufrage.


Au loin file un oiseau bariolé en vrac, vol des idées, fric-frac des certitudes dans l'air épais ambrée.
Il ne suffit pas de vouloir pour s'envoler, blam! propagation de la troisième dimension et le tout se joue sur un virage sur une plongée. Le reste est à voir.
ffffffffffffffffffffffffffffffffffffffffffff ssssssssssssssssssssssssssssssssssss



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