mercredi 16 mars 2011

Les jardins de...



Butiner jardiner, l'heure des regards qui se posent et se déposent, sur les fleurs. Les mateurs amoureux courent les affriolantes banalités de coins de jardinet, aux feuilles volantes. 
Ce n'est pas un mystère puisqu'il il suffit de se pencher ou de se laisser aller à observer, et voilà les mirettes servilement embarquées.  Aux quatre points cardinaux dansent des feux follets, étrangetés que l'on pourrait aimer garder, et leurs frissons éphémères garantis, trop colorés. E103, E105, E121, E111. Ça caracole de succès, de formes, de splendeurs et de beautés et de prouesses.

Mais parfois, tout contre l'attente, apparait, comme une si discrète edelweiss, une candeur une simplicité, un bouleversement et tout ce qui emmène avec. Ce n'est pas un concours aux phénomènes mais quand même, de cette élégance, aurore surprise aux rayons émouvants alléchants, ce n'est plus pareil. 

Dans un bout de jardin, une fleur à transformé et l'été, et la journée. On dirait.

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