Il y a des lettres à malice, formes à surprise et entourloupe de mille sensations. Des lettres fines et circulaires quand d'autres sont en rondeurs malines, synonyme du plaisir de si joyeux galbé galant, et troublantes. Mais pour qui sont ses serpents qui sifflent sur vos têtes ? Est-ce les courbes en s qui se trimballent comme des esses d'esprit, ouvrant de ci et de là les secondes du temps rotatif aux ondes de cisaillements épatants.
S ou f comment se fait-ce* ? Point de fesse, mutine, point de fesse, butine, juste l'objet céleste aux structures célestine, et le cœur au revers comme un pin's comme un prodige. "Oserais-je" se demande O accoster et former un duo, et peut être un jour un mot. Qui commence qui invente, et qui danse... ça se télescope au vue de ça, ça provoque et ça se corse (dit il de son île). Faudrait pas terminer marron (même si c'est très bon).
Mais... voilà U ce truc ce zouave qui rapplique et s'acoquine des deux larrons sans mot dire, sans à coup fait moi rire. A trois, c'est sacrément plus facile de construire un style sans turlupine, mine de rien. Pitre. Fichtre.
P et I passent. Tiens ? Un sou. C'est drôle, il y à manière à, il y à idée dans, peut être sans aucun doute qu'il faut s'imbriquer, qu'il faut le faire, quoi, çà, où, là. Tenter le collé, mélanger et le début et la fin pour constituer, pour coupler et mâtiner les bombés avec les creux, les convexes et les concaves, s'amuser à se conglomérer. Pis... l'infini.
R. Ah ! R. Ce R c'est lui, c'est lui qui termine, c'est lui qui fini. Il sait le faire, il suffit de et il n'y à qu'a. Mais il veut prendre son temps, c'est un plaisir ou un bonheur, une cuillère de crème de marron (chacun ses références, c'est sa référence, d'où l'italique) qui bruisse avant d'être dégustée avalée, si crue. Fais pas ci fais pas ça, lui avait-on dit, mais R s'en fiche, son corps et cœur épris, il voudrait tant toutou dévaliser déshabiller, et se donner. Tout fou fou.
Un dernier souffle, un baiser sur la bouche, une risée de bonheur et ... le soupir ...
Mais... voilà U ce truc ce zouave qui rapplique et s'acoquine des deux larrons sans mot dire, sans à coup fait moi rire. A trois, c'est sacrément plus facile de construire un style sans turlupine, mine de rien. Pitre. Fichtre.
P et I passent. Tiens ? Un sou. C'est drôle, il y à manière à, il y à idée dans, peut être sans aucun doute qu'il faut s'imbriquer, qu'il faut le faire, quoi, çà, où, là. Tenter le collé, mélanger et le début et la fin pour constituer, pour coupler et mâtiner les bombés avec les creux, les convexes et les concaves, s'amuser à se conglomérer. Pis... l'infini.
R. Ah ! R. Ce R c'est lui, c'est lui qui termine, c'est lui qui fini. Il sait le faire, il suffit de et il n'y à qu'a. Mais il veut prendre son temps, c'est un plaisir ou un bonheur, une cuillère de crème de marron (chacun ses références, c'est sa référence, d'où l'italique) qui bruisse avant d'être dégustée avalée, si crue. Fais pas ci fais pas ça, lui avait-on dit, mais R s'en fiche, son corps et cœur épris, il voudrait tant toutou dévaliser déshabiller, et se donner. Tout fou fou.
Un dernier souffle, un baiser sur la bouche, une risée de bonheur et ... le soupir ...
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