jeudi 14 avril 2011

On n'y peut mais....

il faut oser, oser cliquer...


Pffff ... parfois c'est comme cela. Une partie, un bout de, ce n'est rien mais c'est beaucoup et presque tout. L'obsession diabolique chevillée au corps comme une luciole à incandescence. Il y à de l'incantatoire  effervescent dans le regard, du plaisir soufflé, le coup de bluff d'une belle paire piquée au cœur. 
Saperlipopette! de voir sans sa salopette et sous le decorum à froufrou les anges et les merveilles d'une sacrée fête. La passion des détails qui obnubilent et hypnotisent tarabustent et turlupinent les reptiliens de l'hypophyse. Bon sang, il s'agit là d'un génial fric-frac à émotions, car voilà les mirettes affolées et le cerveau dévalisé. Impossible de s'en défaire, ca file doux et beurre la tartine d'une journée à peine commencée.

Ooooh. Pour certains enthousiastes, le diable au corps ce n'est que ce grain de beauté alors que pour d'autres les roploplos des louloutes ils ne sauraient s'en passer, d'aucuns ne voient que les jolies gambettes ou les nez retroussés ou les pommettes tachetées, de rousseurs et de couleurs ou le simple parfum d'un émoi, d'une soirée, d'un café d'une manière de manger de déguster de siffloter de se déplacer de s'allonger d'embrasser de scruter de parler à coup d'expressions extras loufoques inédites ou truculentes, de suçoter de susurrer de tenir une main ou une épaule ou rien de tout ceci et rien de tout cela, juste se prélasser se laisser aller à chanter penser glouglouter et croquer, ou, ou les pupilles les arrondis les aiguilles les lacets les cils ou les écoutilles, les lunes... les petit doigts vernis, on ne sait on ne sait.
Qu'importe le style des bagatelles obsessionnelles, le voodoo des broutilles transforme les babioles en feux d'artifice.

Ah nom de dieu de bordel de merde. Ancré au fond des ciboulots échauffés, blancs de trop de faits, chancelants d'inextinguibles visions, la perfection du sein des saintes, la stupéfaction des souffles coupés et des corps renversés, voilà donc cette idée, ce truc cette chose ce, le, cet incompréhensible attrait qui envahit les esprits hébétés.
Plus d'age ou de passé, rien de l'avenir ou des lendemains, ce n'est que le présent d'un cadeau, à deux.

Aucun commentaire: