vendredi 3 juin 2011

New rock.

Fat32 dans la lignée des Chevreuil*, Duracell*, Oxes*, et cetera et cetera, du math rock* mélangeant sans retenue l’énergie directe aux complexités rythmiques, aux cisaillements, aux citations Tex Averyesques, aux acrobaties sonores, à la puissance et à la virtuosité lo-fi et punk. 
Le rock avance, undergroud par dessous par dessus ce qui se fait entendre en mainstream, tout une aventure sonore encore en court de révolutions, puisant dans le free, les musiques improvisées, Crimson, Henry Cow, Zappa, la technologie mais gardant en tête et à l'envers cette efficacité physique et volumineuse du "gros son". Oui ça joue fort, mais justement. Heureusement. La musique accepte tout et surtout de ne pas être tenu par autre chose que ce quelle demande ontologiquement. 
Au delà de la vitrine des mélodies ou des enchevêtrements rythmique résiste ce plaisir de se laisser embrasser par le corps sonore.


 si ça se clique ? oui

Aucun commentaire: