mercredi 8 juin 2011

∂ - le souffle.



Open heart. 
Le s∂x qui se faufile entre cette s et ce x, l'air de rien, ose la nique au Black Trombone* pour la mise en suspension des états indéfinis. Nostalgie cursive, on dirait bien qu'un souffle de cuivre résiste pour s'inscrire entre deux lettres, étoiles blanches et désirées dans le noir des futurs impressions, finalement déposées. 
La courbe d'une idée à l'en-tête entêté, en-corps encore, tente la percée d'un sourire d'une pensée ; bien loin du q, malgré le e qui traine, lui, aussi, dans le coin - et qui croit faire l'affaire. 

Trop simple. Trop simple.
La vérité n'est pas dans la lettre mais dans son milieu, cette immense sonorité d'une rencontre entre deux. Philosophie des chaudes esquisses qui s'installe et dispose des avants et des après. Le s∂x s'enlace et aux belles manières se donne de toutes les manières. Happiness is a warm gun*. C'est l'idée.

Trop simple. Trop simple.
L'autre côté est ailleurs, dans les airs, dans cet énigmatique mystère, qui tient en haleine et la vérité et la pensée et toute l'affaire. Une incroyable présence d'on ne sait d'où ne sait qui embrasse ce qui se ressent. Tout est là, le détail et les allures, les gestes et ce je-ne-sais-quoi qui traine, perceptible et invisible. Une intuition. Ou.

Un fil. Ce souffle.
Entre cette s et ce x, comme un ∂

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