On à beau dire, mais les réseaux sociaux promettent et permettent une part de société de l’intelligence et du savoir, celle d'une culture qui existe mais qui est à partager et à faire apparaitre pour mieux respirer. Tout est là, oui, mais c'est le tri et la mise en lumière qui en fait une idée dynamique, mobile, vivante, active. Voilà x ou y qui exposent leurs trouvailles YouTube ou les photos incongrues d'une vie singulière, voici z ou w de Tokyo ou de Lisbonne qui dévoilent des projets en cours ou a et b frais comédien ou vieux grigou qui lancent la polémique d'Avignon ou de l'improvisation ou de la place des nouvelles technologies dans les festivals d'été.
C'est tout un fatras roboratif et inattendu de bonnes nouvelles, de merveilles qui se sertissent à l'esprit et donnent envie. L’intérêt de tout ceci n'est plus dans la mise en avant de soi mais dans cette immense collectivité des savoirs qui n'existent que lorsqu'ils sont goutés de manière complice.
L'art passé en douce sur Facebook, YouTube ou un quelconque blog joue contre la mise au pas et le nivellement en détournant la futilité narcissique des outils. Encore une fois et pour toujours ce n'est pas tant l'objet mais la façon dont on s'en sert qui donne du gout aux dernières inventions en les rendant populaires et révolutionnaires. Et importantes.
Deux exemples parmi tant d'autres ici avec Alvin Lucier* (sa page W* et une si belle chose zen de lui*) et Maryanne Amacher* (et Pauline !*). Deux exemples des musiques expérimentales mais en vérité la diffusion des sons étonnants ne se limite pas à ces territoires (cf Tom Zé*** le Brésilien farfelu inventif de milles sons détournés et d'un accordéon out, des enregistrements des NoWave dont James Chance*, un truc fou Sun O)))*, Dewey redman qui fait tellement plaisir à réentendre*, des expériences démentes*, et bien sur l'archive avec des vidéos dont on loue la publication de contrebande* ou encore ceci, ce lien donné sur un "mur" et aussi Fineberg* et aussi des photographes**** et des plasticiens du sonore* et des vieilleries exhumées*), et c'est ça qui est chouette.
C'est tout un fatras roboratif et inattendu de bonnes nouvelles, de merveilles qui se sertissent à l'esprit et donnent envie. L’intérêt de tout ceci n'est plus dans la mise en avant de soi mais dans cette immense collectivité des savoirs qui n'existent que lorsqu'ils sont goutés de manière complice.
L'art passé en douce sur Facebook, YouTube ou un quelconque blog joue contre la mise au pas et le nivellement en détournant la futilité narcissique des outils. Encore une fois et pour toujours ce n'est pas tant l'objet mais la façon dont on s'en sert qui donne du gout aux dernières inventions en les rendant populaires et révolutionnaires. Et importantes.
Deux exemples parmi tant d'autres ici avec Alvin Lucier* (sa page W* et une si belle chose zen de lui*) et Maryanne Amacher* (et Pauline !*). Deux exemples des musiques expérimentales mais en vérité la diffusion des sons étonnants ne se limite pas à ces territoires (cf Tom Zé*** le Brésilien farfelu inventif de milles sons détournés et d'un accordéon out, des enregistrements des NoWave dont James Chance*, un truc fou Sun O)))*, Dewey redman qui fait tellement plaisir à réentendre*, des expériences démentes*, et bien sur l'archive avec des vidéos dont on loue la publication de contrebande* ou encore ceci, ce lien donné sur un "mur" et aussi Fineberg* et aussi des photographes**** et des plasticiens du sonore* et des vieilleries exhumées*), et c'est ça qui est chouette.
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