Attendre attendre attendre. Pour
voir pour savoir pour croire. Qui sait ? Il va bien se passer un truc
là, non ? Le matin (blême, dirait l'autre - et ça envahit) se réveille
et voilà les sensations folles qui s’effacent pour retrouver un semblant
de canevas. Finalement c'est un effet de la réalité (l’échantillon de nuit qui ne se montre pas en journée) que de se sentir moins en l'air, malgré ce que l'on espère,
malgré ce que l'on voudrait. Reste le devant alors, le fuyant le volant.
Triste tropisme. Et le jour qui se lève. Bah.
Triste tropisme. Et le jour qui se lève. Bah.
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