Les natures numériques s'incrustent comme des coquillages dans les intérieurs - qui frissonne, qui bouge, qui s'installe ? Des verdures faites de faux espaces, comme un aperçu des extérieurs - et cette illusion des imaginations fertiles.
La télévision. L'au delà à porté de regard ou l'image plate comme profondeur des pensées. Drôle de robinetterie à espérances. Sans cœur ni foi, vide de sens, et occupé par le médium (Ah ! "Médium is massage" dixit McLuhan* - mais ici, rempli de cut-up puisque c'est un LP).
Bref. La télé. Triste tropique d'une vie rêvée.
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire