On n'y peut on n'y peut, c'est comme ça et c'est pour ça. On en est ou on en est pas. C'est un truc perso, c'est une drogue une dope un dada une lubie une marotte une pathologie du plaisir sans faim sans limites.
Il faut dire... que cela croustille et que cela renferme un cœur, tendre, et que cela ne se donne pas si fréquemment - il faut y mettre de l'attente, forcément - et qu'une fête à chaque fois se prépare, comme un rendez-vous amoureux, enrobé d'une pincée de trac avant le tout à trac.
C'est l'unique douceur, un intérieur un dedans une intimité une profondeur, hors du commun.
Il faut dire... que cela rappel les mercredis et que ce brin doré enchante les prunelles avant même d'éblouir les papilles. C'est féminin une frite finalement. Tout en finesse et tellement affriolant - provocant. La reine des carburants à félicité, le populaire en haut de l'affiche et cette belle exhibition de la pomme de terre. La frite la frite la frite ! Tout de même tout-de-même.
On la veut ainsi, déshabillée, sans chichi ou à poil de sel, on la rêve si gourmande et tendrement présentée dans un cornet en barquette ou sur un lit de mayonnaise, on se voit séduit avant même d'y toucher, emporté avant même de l'expérimenter, conquis avant même de s'en pourlécher.
La frite à la frite c'est certain, et le reste qui va avec.
Mais d'où vient-elle mais d'où vient-elle* cette sacrée cette belle cette super donzelle ? Elle est pourtant bien là, et elle pavane, elle emballe elle allume de ses formes inconnues et de ses drôles d'allures biscornues. L'imperfection parfaite, l'art du bizarre complice et de l'élégance des asymétries. La beauté des laids... peut être. Surement. C'est prouvé.
Alors voilà, l'esprit se beurre la frite au cou de cette princesse de petit peuple, s'émancipe et prend le large des repas d'une tournée des Grands ducs pour se payer un autre type de cabaret, à la joyeuse, en pleine rue ou sur les terrasses ensoleillées d'un moment bien particulier.
L'extase du peu, le grand plaisir d'une superbe, l'incomparable des paillardises - gourmandises.
Il faut dire... que cela croustille et que cela renferme un cœur, tendre, et que cela ne se donne pas si fréquemment - il faut y mettre de l'attente, forcément - et qu'une fête à chaque fois se prépare, comme un rendez-vous amoureux, enrobé d'une pincée de trac avant le tout à trac.
C'est l'unique douceur, un intérieur un dedans une intimité une profondeur, hors du commun.
Il faut dire... que cela rappel les mercredis et que ce brin doré enchante les prunelles avant même d'éblouir les papilles. C'est féminin une frite finalement. Tout en finesse et tellement affriolant - provocant. La reine des carburants à félicité, le populaire en haut de l'affiche et cette belle exhibition de la pomme de terre. La frite la frite la frite ! Tout de même tout-de-même.
On la veut ainsi, déshabillée, sans chichi ou à poil de sel, on la rêve si gourmande et tendrement présentée dans un cornet en barquette ou sur un lit de mayonnaise, on se voit séduit avant même d'y toucher, emporté avant même de l'expérimenter, conquis avant même de s'en pourlécher.
La frite à la frite c'est certain, et le reste qui va avec.
Mais d'où vient-elle mais d'où vient-elle* cette sacrée cette belle cette super donzelle ? Elle est pourtant bien là, et elle pavane, elle emballe elle allume de ses formes inconnues et de ses drôles d'allures biscornues. L'imperfection parfaite, l'art du bizarre complice et de l'élégance des asymétries. La beauté des laids... peut être. Surement. C'est prouvé.
Alors voilà, l'esprit se beurre la frite au cou de cette princesse de petit peuple, s'émancipe et prend le large des repas d'une tournée des Grands ducs pour se payer un autre type de cabaret, à la joyeuse, en pleine rue ou sur les terrasses ensoleillées d'un moment bien particulier.
L'extase du peu, le grand plaisir d'une superbe, l'incomparable des paillardises - gourmandises.
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