lundi 3 octobre 2011

Paysages électriques. La lumière d'une fée.

C'est vieux c'est jeune c'est sans age, avec de surcroit l'élégance que peut y apporter entre autres Tod Dockstader**. Comme toutes les passions allumées pleins phares à plaisir, l'émotion électrique trouve de quoi s'épanouir dans le sonore et les anatomies. Unique. 

Au sein des vents qui grésillent ou des prairies qui frisent, l'électrique donne à chanter des cœurs et des corps. Le frisson fou d'une invention qui a tout changé - et fait chaviré bien des tournesols survoltés. Phototropique.

La fée électricité* en bouche un coin.

Recommandé pour le sourire comme du fond des ages (l'ambre jaune aux propriétés électrostatiques à crée le mot "électricité" du mot Grec êlektron (ήλεκτρον) qui la désigne, étrange, non ?), la voici sur le piédestal musical.
Le bonheur des trouvailles d'ingénieurs, musiciens et autres Géo Trouvetou à tenter le son par l'électron libre, s'écoute en hifi et trouve son chemin acousmatique à s'engloutir au centre des acoustiques zélées. Intrépide.


Alors oui. Les baisers de la fée sont à jamais un moment magique.









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