Juste avant la musique, au milieu d'un silence et de ce moment soudain d'épaisseur. 4:22, la nuit, la belle insomnie. C'est celle qui étreint et qui réveil, pour faire venir l'envie de ne plus être dans le fil des journées pareilles.
Nul mouvement, et se rendre compte de l'essentiel mouvement - de l'autre côté, comme une intimité.
Mobilis in mobile.
Et john Cage qui compose le silence avec gourmandise et conviction... Il y a aussi de la nuit dans sa belle idée, le qui-vive créatif et son envie irrésolue de toucher l'état permanent du son.
La présence le soir, au milieu des fébrilités figées donne la mesure du temps qui passe, cette intensité que personne ne peut sentir avant de s'arrêter un moment, en équilibre.
Alors l'insomnie. La nuit. Est une manière, comme dans la vie, de ne pas rester endormi.
Nul mouvement, et se rendre compte de l'essentiel mouvement - de l'autre côté, comme une intimité.
Mobilis in mobile.
Et john Cage qui compose le silence avec gourmandise et conviction... Il y a aussi de la nuit dans sa belle idée, le qui-vive créatif et son envie irrésolue de toucher l'état permanent du son.
La présence le soir, au milieu des fébrilités figées donne la mesure du temps qui passe, cette intensité que personne ne peut sentir avant de s'arrêter un moment, en équilibre.
Alors l'insomnie. La nuit. Est une manière, comme dans la vie, de ne pas rester endormi.
4:33 de John Cage
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