mercredi 2 novembre 2011

? ? ? ? ? ? ? ? ? ? (billet pour rien dire, ou tout)



Ben ouais. Mais ça change tout. Dessous/Dessus, où ça se joue. Ce que l'on voit n'est pas toujours ce que l'on croit, même si parfois, la moyenne, elle, reste acceptable (après tout, les pieds dans le four et la tête au frigo font encore 37,2 de global. Mais on se disperse, mais on s'éloigne, on s'égare on s'abuse on se berne).

Dessous ou dessus ? Alors quoi, faut choisir, faut s'arrêter. A quoi, à ce qui se voit ou à ce que l'on croit, partie de poker pour esprits curieux, décidément c'est plus compliqué que ça en à l'air, le choix, tout ça. La suite, n'en parlons pas.

Certes il y à le dessous tel que le voit Maruschka Detmers et le reste du monde dans Le diable au corps (à 11:38 - et oui... c'est X*, mais quoi ben quoi) mais ça n'a rien à voir ça n'a rien à voir ! Okay okay okay. C'était juste le gout du léger léger léger, pour se donner le sourire des plaisirs simplifiés, galipettes d'écureuils futés - et non non mais non ce billet n'est pas uniquement jeté pour ce lien dévergondé polisson et croustillant, faut pas croire faut pas croire - uniquement ce que l'on voit.

A moins qu'il ne s'agisse ici que d'une métaphore des choix de vie, avec ou sans, l'espoir le rêve et les envies ou de ce qu'il faut croire pour enfin bien voir. L'essentiel est invisible... etc, etc, on connait la suite mais  chacun son histoire, à faire, à changer à tenter.

Grande angoisse, mais sous les draps en tente.



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