Et, parfois, le silence, qui l'isole, et lui donne, ce qu'il faut, de transparence, pour pouvoir laisser, aller, la pensée, qui, ne pouvait pas, s'envoler. L’insoupçonnée...
Temps, et silence, marchent, comme, des pairs, bel, équilibre, amoureux, aux présents, translucides. Irréels... peut être.
Il faut, on doit, donner, offrir, de la place, de l'espace, au rien, volant, pour dessiner, pour ressentir, en creux, au loin, ce qui, se faufile, ce qui, résiste, comme une esquif, dans le bruyant, hurlant. Résolument.
Profondément.
L'air ambiant... et prendre la mesure de l'aventure.
Une île attire d'elle.
Le vent, la portera, cette pensée, au delà, de l'instant, au delà, des tonitruants, pour un endroit, qui tremble, encore, de souvenirs, et des dernières, sensations.
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