samedi 31 décembre 2011

L'infini inoubliable.







Sans limite émotionnelle, l'art et la manière de dessiner avec délicatesse et immensité le moment qui passe. On se love on se donne aux sons de Steve Lacy (ou quelque autre) qui laisse passer entre le sol et l'air tout un univers. L'espace d'un instant il faut s'en rendre compte, sans retenue et la joie de profiter des grandes étendues ouvertes. La beauté est aussi simple, offerte à présent dans quelques notes ou quelques sons lumineux et solaires, chargés d'histoire et d'envie et de lendemains d'espérances.
Ce à quoi l'on croit, cette foi en ce que l'on voudrait sans lois, tout ce qui donne raison de vivre, cette sensation, pourrait bien se retrouver dans les détails de deux ou trois phénomènes acoustiques.
Comment ne pas voir alors que peut être, au delà des effets et des tristesses résiste et réside un profond bonheur de pouvoir en être.

Et à 4:17, on refait son lacet, tout simplement.










Et et et, si l'on ne voit pas, si l'on ne sait plus quoi faire, on peut toujours attaquer l'escalade des gammes face Nord à la maison...








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