Danser. Et danser, dansez, jusqu’à plus soif, pour ouvrir les espaces et plonger dans les états du présent et des sensations. "Staying alive !" dirait John Travolta, mais pas seulement, être ici et maintenant, mais quoi mais quoi, au milieu du funk ou du reste ça n'a aucune importance, c'est le sentiment joyeux qui prime. Une joie qui n'a rien à voir avec le "festif" mais avec cette liberté des corps occupés, redécouverts et exposés à la vérité d'un instant.
Et le geste bien sur, comme une manière de sentir ce qui tend d'un coup d'un seul le présent. Le geste comme mouvement, comme action, comme déplacement comme distance, comme une mise en circulation des forces discrètes qui se faufilent entre les corps et entre les intérieurs (au hasard cambré couleur ambré - inouï inoubliable), le geste comme un théâtre des moments, comme une caresse, un baiser - raison de vivre. Le délicieux déséquilibre.
Et donc, "célébrer ce qui rend humain", n'est ce pas Teresa de Keersmaeker ? Splendide projet, tellement important. Si banal pourtant - en voilà la beauté.
Et le geste bien sur, comme une manière de sentir ce qui tend d'un coup d'un seul le présent. Le geste comme mouvement, comme action, comme déplacement comme distance, comme une mise en circulation des forces discrètes qui se faufilent entre les corps et entre les intérieurs (au hasard cambré couleur ambré - inouï inoubliable), le geste comme un théâtre des moments, comme une caresse, un baiser - raison de vivre. Le délicieux déséquilibre.
Et donc, "célébrer ce qui rend humain", n'est ce pas Teresa de Keersmaeker ? Splendide projet, tellement important. Si banal pourtant - en voilà la beauté.
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