Non, le planeur ce drôle d'oiseau en soi n'est pas beau... mais que ses impressions sont belles. L'aile, le féminin gracieux d'un masculin technique qui vol et espère se frotter aux élégances des hauteurs aérées.
La délicatesse des elles, ces féminines qui tournent les têtes et baladent le temps et les corps au dessus des terrestres, et qui, peut être, après un court instant au dessus des grisailles et au dessus des nuages, ouvrent, comme une échappée fine les espoirs et l'avenir des plaisirs.
Ciel aux parfums de glisse, offert offert offert, tourneboulé renversé, à prendre à traverser, s’empiffrer déguster. C'est dans ces hautes herbes folles des stratosphères que le blanc sur blanc s'en donne à cœur joie, oubliant les impossibilités, comme si de rien n'était.
La joyeuse allégorie, mais ce sont bien toutes les jolies ailes qui transforment les planeurs en rêveurs, dandys des airs, belle atmosphère à l'existence si légère qui ne se grisent que sur une aile.
Un passage sous les nimbus-ronfleurs, glissade et luge d'esprits enflammés, frissonner frôler frimer se laisser aller à caresser les altitudes follement à porté et se baigner délicieusement dans les bleus et les blancs dévoilés.
Et puis, d'un coup de réalité, un peu saoul, il est temps de redescendre... sur Terre.
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