Et voilà que tout se mélange ! Il faut écouter Suuns* ("zéro" en Thaïlandais) pour la pop, l'électro, le distordu, l'expérience, le dancefloor, la techno, les riffs post-punk, les lignes jazz, le sombre, le noyé, le dark, l'élégance dandy et tout ce qui ne peut être nommé dans cette cafetière atomique.
Les belles découvertes se font souvent par hasard, mélancolique le matin amoureux le soir, et le monde à changé. Suuns donc, qui ouvre la musique aux sirènes grinçantes et aux claviers vintages (gros grain sur les sons) comme aux voix transparentes ou aux lignes de basses 70's.
Il y à du plaisir dans tant de noirceur qui semble issu d'un bac à sable à composition. La musique est nourri des histoires, les choix des envies et des essais et on sent chez eux une drôle de combinaison, inattendue, intuitive, empirique, sans finalité sinon l'équilibre des sons. C'est ce qui donne une musique généreuse, libre et excitante.
Il faut écouter Suuns, mais parce-que ce qui se fait change, et que chacun traverse le même monde en le regardant à sa façon.
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