Finalement le truc, c'est l'humanité. Une inquiétude spontanée ou plutôt cette question comme une quête de réponse, histoire de connaitre histoire de savoir. Hier ou demain. Mais quoi. Insolite poursuite des vertiges et des ailleurs qui remplissent, en creux. Le bonheur ce bidule ne peut être qu'un équilibre temporaire, une rencontre fortuite, magnifique. Éphémère. Mais alors. Les explorations dévastatrices.
Ce serait dommage de s'endormir dans le confort d'un décorum construit pour oublier. L'équilibre d'un instant ne pourrait exister que dans le déséquilibre des aléatoires, et des existences. Une dynamique, une course-poursuite, et le désir. Ce n'est pas un principe, juste un état, à ne pas balayer pour éviter ce qui fait trembler.
Il y à des horizons démesurés à visiter, contradictions quotidiennes et banalités des surprises qui déboulent sans crier. Gare ! Une traversée improvisée, attraper au vol ce qui pourrait s'appeler un accident et profiter des étincelles de ce moment. L’odyssée. Qui sait. Et le fond de l'affection pour ce qui peut bouleverser, un coup de dé, une dentelle peut être. Et pourquoi.
The tree of life le montrait si bien, ce si minuscule, et immense, l'imprévisible beauté qui peut jaillir du jour au lendemain ou jamais.
Tendres violences, et les superbes epsilons à aller chercher, ℇ de dernières minutes. Bien balancés.
Non vraiment il ne peut y avoir d'abandon de l'abandon, accepter ce qui ne se sait et se préoccuper sans fard tant pis des inaccessibles.
Et des étoiles, soudain, des permanences d'un autre temps, hors sujet pour le peu de durée d'une possibilité. La relativité générale ne permet que de sentir les petits riens au centre d'une métaphysique sans fins. Et patatras. Alors quoi, alors où.
L'étincelle tout de même. Sans raison. Justement. Qui se réveil et c'est tout l'attrait. La poésie, ou ces mots qui ne servent à rien, essentiels.
Voilà encore le jeu des incroyables et des oxymores. Jolies impossibilités. La vie univoque serait bien tristounette, et plus calme.
Alors non. Alors ouioui, ce truc, l'humanité, et les si insoupçonnables effets.
Ce serait dommage de s'endormir dans le confort d'un décorum construit pour oublier. L'équilibre d'un instant ne pourrait exister que dans le déséquilibre des aléatoires, et des existences. Une dynamique, une course-poursuite, et le désir. Ce n'est pas un principe, juste un état, à ne pas balayer pour éviter ce qui fait trembler.
Il y à des horizons démesurés à visiter, contradictions quotidiennes et banalités des surprises qui déboulent sans crier. Gare ! Une traversée improvisée, attraper au vol ce qui pourrait s'appeler un accident et profiter des étincelles de ce moment. L’odyssée. Qui sait. Et le fond de l'affection pour ce qui peut bouleverser, un coup de dé, une dentelle peut être. Et pourquoi.
The tree of life le montrait si bien, ce si minuscule, et immense, l'imprévisible beauté qui peut jaillir du jour au lendemain ou jamais.
Tendres violences, et les superbes epsilons à aller chercher, ℇ de dernières minutes. Bien balancés.
Non vraiment il ne peut y avoir d'abandon de l'abandon, accepter ce qui ne se sait et se préoccuper sans fard tant pis des inaccessibles.
Et des étoiles, soudain, des permanences d'un autre temps, hors sujet pour le peu de durée d'une possibilité. La relativité générale ne permet que de sentir les petits riens au centre d'une métaphysique sans fins. Et patatras. Alors quoi, alors où.
L'étincelle tout de même. Sans raison. Justement. Qui se réveil et c'est tout l'attrait. La poésie, ou ces mots qui ne servent à rien, essentiels.
Voilà encore le jeu des incroyables et des oxymores. Jolies impossibilités. La vie univoque serait bien tristounette, et plus calme.
Alors non. Alors ouioui, ce truc, l'humanité, et les si insoupçonnables effets.
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