vendredi 30 mars 2012

Musique induite.







Un planeur comme un bateau "craque". De tous les côtés et avec musicalité. C'est une fanfare du mouvement et des torsions. Une conséquences des jeux de plastique. Caresses et frottements le long des flancs et des ailes, une danse entre un invisible mobile et le corps d'un aéronef.

L'imprévisible des sons et une réalité soudainement mis en partition. Le vol à voile se fait aussi à l'oreille, pour l'évaluation de la vitesse et pour le plaisir de se sentir fendre l'air. Quand au reste, ce n'est parfois qu'une ombre sur un rocher.

Quand aux vaches qui regardent une "vache" (le posé d'un planeur en rase campagne pour cause d'absence d'ascendance), elles assistent à un moment délicat qui laisse la musique de côté pour retrouver le plancher des marguerites (ah ! les marguerites....) sans casse binette.


billet (en partie) pour les planeurs de l'est 






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