mercredi 11 avril 2012

Les endo' commack.



Ce pourrait n'être qu'un sport, une course, une compétition, un WE, un simple défoulement des quotidiens ; et pourtant, tout comme le marathon (semi ou full qu'importe la dose, ou* !), la piscine, le biclou à rubans ou se jeter sur scène, le vol à voile prend une tout autre dimension quand il rempli les anatomies de sensations. S'envoyer en l'air, impatient, est une autre manière de se distribuer les endomorphines* qui colorent les heures de plaisirs.

Prendre de l'altitude et se détacher du plancher des vaches ne peut que doper la journée et bazarder ce qui traine de nuages menaçants pour des excitations sous influences. L'art de se sentir léger et le frisson des privilèges de voler. 
L'esprit à 250 km/h ou ivre de "spiraler" avec les buses (rarement les condors, hein - l'ultra plaisir ne vient pas forcément que des extraordinaires mais déjà bien des extra-ordinaires) suffit à prendre la mesure de tous les plaisirs encore disponibles sur Terre.




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