Il y a des jours comme des nuits et des nuits comme des jours. Où finalement les mots chantent sur un fil, comme au temps des indiens ou comme celui de toujours pour les volants et les observants - des mots cerfs-volants* qui serpentent dans les imaginations.
Chargés d'histoires ou d'inventions, ils sont pourtant bien légers, et libres, et respirent le long des heures et des journées qui filent. Oui. Comme nager dans un lac profond, ou silloner les airs aérés, les contrées sans limites, les espoirs et les envies radieuses. Des mots qui n'oublient, rien, et redessinent ce qui fait et défait, la conjugaison du temps, des regards profonds et apaisés, frais et vastes, une sensation ou des moments, demain ou ce qui est imprimé.
Des mots parfums. Invisibles et flottants, enveloppants et ardents. Inoubliables et pas encore fabriqués.
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