Il y à des fleurs particulières, il y à des moments particuliers et des passés particuliers, il y à des jours particuliers, des sourires des regards des mémoires particulières, il y à beaucoup de ce qui compte même dans si peu de chose qu'un pétale qu'une odeur ou un parfum, il y à aussi c'est vrai des sensations des émotions des frémissements qui restent dans l'air des choses, dans les détails et les minuscules mouvements de ce qui anime l'intuition ou l'impression, il y à la joie d'histoires insoupçonnées, la surprise de ce qui ce faufile ou s’enfuit ou cette épatante et séduisante généreuse élégance des fruits d'été, il y à une immense raison de croire dans un cœur chiné, unique témoin des contemplations héliotropes, il y à de quoi tenter oser essayer apprécier déguster ces beautés qui se déploient et s'offrent dans des douceurs de voix ou des greniers à secrets, il y à tant et tant de petits rien qui changent une vie ou simplement qui s'immiscent, il y à tant et tant d'inattendus au coin d'une rue, au coin de babioles d'une goutte de pluie d'une dentelle ou de ce qui pousse doucement entre les lignes, ce jardin ouvert, tant de falbalas des quotidiens, tant d'atmosphères de stratosphères, de visions de spationaute ou de trésor d'aventurier chanceux, il y à des envies d'exceptionnel pour cueilleurs ordinaires, des voyeurs ordinaires d'attraits lumineux et de féeries élémentaires, il y à beaucoup de merveilles finalement dans les parages, il y à forcément une quête, une épopée, une odyssée à goûter, il y à cela... mais surtout ceci.
ps : tous les a sont à puisqu'il n'y a pas d'avait dans ce qui joliment est.
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