mardi 4 septembre 2012

Cette beauté - que l'on à touché d'un possible.




Le souvenir d'une lune. Le souvenir de cette allure. On y a foule le duvet, mis un pied, touché des doigts ce doux lointain à porté de corps enfin. On y a laissé une babiole de passage un geste de désir et cette envie au creux des belvédères.
La lune, unique objet des histoires inouïes, de Bergerac à Méliès, du simple curieux à tous les nonchalants rêveurs - la lune des amoureux.

On y a posé l'espoir et ce n'est pas rien, on y a laissé l'impossible et c'est une empreinte des beautés inaccessibles pour toujours, on y a tant eu envie qu'il eut été facile d'y rester au delà des oxygènes limites - à y mourir de plaisir.

La Lune... aux paysages inconnues et aux rondeurs saveurs uniques, ce fragment d'univers lieu dit des pensées nocturnes / l'absolue solitaire, la fleur d'ailleurs. Une confidence.
C'est sur son atmosphère tenue rare souffle qui retient doucement que l'on à déposé quelques souvenirs aux richesses sans limites, c'est sur cette étoile givré de gris insolite que l'on à pris pour cible le cœur d'une aventure, c'est sur ce petit bout mortel en orbite immortel que l'on à volé de ses ailes, comme pour une balade aux horizons profonds.

Jolie lune, petit derrière des idées en l'air, on dirait que la Terre ne sait plus où mettre le pied si ce n'est dans l'éternel de ce bien être intemporel.


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