Le "problème" du saxophoniste dans le rock, le noise, le hard, le trash, le garage, le métal*, le rentre-dedans, le too loud et tant et tant, c'est le saxophone. Le saxophone, le saxo, le sax.
Sax à pile ou sax à la plastique du tonnerre, sax banal ou sax sans faims, le sax gratuit (à un e
près) ou plein d'affectif, glamour ou un brin trop voyant, chic et pas
cher ou crâneur ou frimeur ou m'as-tu-vu, cowboy au cuivre trop
clinquant à la grille d'écoute si pauvre, le sax dans la musique donne
bien trop de codes pré-établis pour ne pas tenter de s'en défaire.
Et voilà le défi (joyeux). Trouver et chercher le son qui permet l'alliage et l'idée. Une brocante de ce qui fonctionne et qui sonne, hors des attentes et des prévisions d'oreilles glacées.
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