jeudi 3 janvier 2013

La beauté jeune et souriante des surprises.


Le miroir* de Tarkovski



En vieillissant c'est le possible qui disparait. C'est donc cela qu'il faut à tout prix essayer de conserver. Une disponibilité aux bouleversements, éphémères ou complets. Rendre le possible, et étendre l'espace qui se réduit comme une peau de chagrin. Nulle tristesse mais un défi. Celui de combiner les souvenirs et les envies, une inversion des histoires, celles fabriquées et celles encore et encore à construire.

L'art aussi. Ce sublime terrestre, qui pousse à révéler et inventer les jeunesses qui s'enfuient. L'art, l'art amoureux par qui tout arrive.


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