lundi 21 janvier 2013

Vive la musique.

Allan Teger


Bon ok, c'est une redite photopiquée (pas fine ?) mais quoi mais voilà les esprits musiciens s'emballent fissa sous le charme des charmes sensibles. C'est la note de musique qui pousse au crime, blue et métamorphosée, vitrine des intérieurs victimes aux tentures de boudoir intimes. L'art de l'art mutin se glisse au creux des courbes d'une idée et des sons déshabillés. 

Mais qu'importe l'allégorie, la métaphore, le sous-entendu, car ce qui compte c'est de voir et de sentir cette magie fébrile qui transporte les ouïes et les vues quand il/elle joue du pipeau. Une incroyable aventure provoquée par l'imagination l'envie et la quête métaphysique des existences ouvertes. 

Toucher du doigt ou de l'invisible, ce son que l'on sent, l'au-delà des aperçus, la poésie terrestre possible.

Nul tristesse dans la recherche de ce qui vibre et de ce qui s'offre, le vertige d'une impression indescriptible mais que l'on peut peut être parfois accompagner pour mieux la révéler. 
Jeter les sons, les manipuler les tripoter les chatouiller ne sert qu'à mieux leur donner la possibilité de s'envoler pour pouvoir ainsi les suivre et les convoiter. 

Le phénomène acoustique, simple matière mobile, est d'une telle étrangeté ! C'est une inexplicable intuition d'immensité dans une minuscule bonbonnière à plaisirs.



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