mardi 14 mai 2013




Ce sont des personnes avec qui l'on a travaillé, des personnes dont on sentait pouvoir en partager plus tard encore le regard et la sensation des choses. Ce sont des êtres qui ont laissés des sons oui mais tellement aussi de quotidiens et d'envies, des avenirs et des souvenirs. Ce sont eux que l'on côtoyait dans les événements qui passaient de ci de là, en sachant qu'un jour viendrait où ils prendraient plus de place dans notre présent. 
Et puis les voilà qui viennent déjà à manquer, les voilà déjà ailleurs et les voilà seulement à trainer dans les mémoires et dans ce qu'ils ont changés. Les voilà enfouis et préservés oui, mais envolés.

Quelle tristesse Laurent Dailleau d'avoir filé ainsi...



Aucun commentaire: