Le long des buildings blancs, grandes masses ultra-légères qui enflent et respirent à leur rythme indolent et tranquille. Rien d'inaccessible, mais le territoire des temporaires, ceux qui ne font que passer, pour émerveiller pour renverser, avant de se carapater comme si de rien n'était. Les toucher les approcher, et l'unique sensation d'une immensité sensible.
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