"C'était
une nuit à KAMIKAZE, un de ces soirs sans self-control, on aurait même
dit une autre époque, celle des polars de Dario Argento, tellement la
noirceur interlope s'immisçait dans les esprits nyctalopes. Pendant la
déambulation on entendait au loin le tube du moment : "It's à HARD
NIGHT, it's a sexy night, it's something you have to feel to make you
feel…". C'était sur toutes les radios
depuis des mois et la mélodie se scotchait au cerveau. Il n'était pas
rare d'en voir un ou deux siffloter le refrain sur un trottoir.
Arrivé au club PORNSTAR (drôle de nom, mais rien ne pouvait empêcher les références lubriques pour attirer de la clientèle assoiffée de fantasmes), ils entrèrent comme s'ils étaient chez eux. Ce n'était pas le première fois, et après tout, dans ce milieu, tout le monde se connaissait rapidement ou faisait semblant de se connaitre depuis toujours. C'était comme ça et finalement cela arrangeait beaucoup de monde de ne pas se poser trop de questions. "VOODOO! VOODOO! VOODOO!" clignotait au dessus du bar lounge griffé de leds caricaturalement bleutées. Les verres oranges, alignés, brillants, étrangement surnaturels, comme électrisés, paraissaient tenir du temps d'un Jimmy Hendrix sous acid. Un mélange de folie 70 avec la modernité délurée et technoîde des années 2010. "Cocktail explosif" clignotait encore, par intermittence, sous la pub pour la boisson VOODOO.
Puis tout s'intensifia. Au loin, dans un coin, une brune parlait BLOWJOB à son petit ami du moment, comme si de rien n'était et en s'esclaffant bruyamment, on aurait pu croire qu'elle titillait tout le night-club en gloussant. Quand à son boyfriend très temporaire, on le voyait bien à son coude qui loupait constamment la table, il était rôti. D'ailleurs tout le club commençait à tanguer de trop d'alcool.Il était 2h du mat', on parlait fort, on se matait on se touchait on ne savait plus trop où l'on était. Une sorte d'ORGASME progressif des convivialités débridées se mettait en place, la communion des esprits échauffés et libres. Où cela pouvait-il bien mener, tout le monde s'en foutait. Ce qui comptait c'était de ne plus voir que des corps offerts et vibrants, tournoyants comme des tornades, comme des TWISTER fous et… soudain, une blonde au sourire FREEDENT passa.Un mec au t-shirt FREEDENT la suivait. Coïncidence incroyable ou simple anecdote de ces nuits exquises où tout pouvait arriver. C'est aussi cela que le monde cherchait. Des aventures inimaginables, des expéditions bourrées de surprises, et le coup des FREEDENT (ce n'était pas rien).
Comme un deuxième effet KISSCOOL, une brune en mini-short, sorte de bombe ultra adaptée aux lieux tenta d'allumer le reste des clients en dansant sur le bar. Malheureusement, en glissant elle emportât dans sa chute la pub VOODOO Cocktail explosif et s'allongea sur le sol trempé de bières. Sa plastique superbe ne tenait plus qu'a la manière dont elle allait se sortir de ce mauvais pas. Ce qui n'allait franchement pas de soi. D'AMAZONE atomique elle venait quand même de se transformer en simple fille à terre. Comme quoi, les images ne tiennent qu'à un fil."
Arrivé au club PORNSTAR (drôle de nom, mais rien ne pouvait empêcher les références lubriques pour attirer de la clientèle assoiffée de fantasmes), ils entrèrent comme s'ils étaient chez eux. Ce n'était pas le première fois, et après tout, dans ce milieu, tout le monde se connaissait rapidement ou faisait semblant de se connaitre depuis toujours. C'était comme ça et finalement cela arrangeait beaucoup de monde de ne pas se poser trop de questions. "VOODOO! VOODOO! VOODOO!" clignotait au dessus du bar lounge griffé de leds caricaturalement bleutées. Les verres oranges, alignés, brillants, étrangement surnaturels, comme électrisés, paraissaient tenir du temps d'un Jimmy Hendrix sous acid. Un mélange de folie 70 avec la modernité délurée et technoîde des années 2010. "Cocktail explosif" clignotait encore, par intermittence, sous la pub pour la boisson VOODOO.
Puis tout s'intensifia. Au loin, dans un coin, une brune parlait BLOWJOB à son petit ami du moment, comme si de rien n'était et en s'esclaffant bruyamment, on aurait pu croire qu'elle titillait tout le night-club en gloussant. Quand à son boyfriend très temporaire, on le voyait bien à son coude qui loupait constamment la table, il était rôti. D'ailleurs tout le club commençait à tanguer de trop d'alcool.Il était 2h du mat', on parlait fort, on se matait on se touchait on ne savait plus trop où l'on était. Une sorte d'ORGASME progressif des convivialités débridées se mettait en place, la communion des esprits échauffés et libres. Où cela pouvait-il bien mener, tout le monde s'en foutait. Ce qui comptait c'était de ne plus voir que des corps offerts et vibrants, tournoyants comme des tornades, comme des TWISTER fous et… soudain, une blonde au sourire FREEDENT passa.Un mec au t-shirt FREEDENT la suivait. Coïncidence incroyable ou simple anecdote de ces nuits exquises où tout pouvait arriver. C'est aussi cela que le monde cherchait. Des aventures inimaginables, des expéditions bourrées de surprises, et le coup des FREEDENT (ce n'était pas rien).
Comme un deuxième effet KISSCOOL, une brune en mini-short, sorte de bombe ultra adaptée aux lieux tenta d'allumer le reste des clients en dansant sur le bar. Malheureusement, en glissant elle emportât dans sa chute la pub VOODOO Cocktail explosif et s'allongea sur le sol trempé de bières. Sa plastique superbe ne tenait plus qu'a la manière dont elle allait se sortir de ce mauvais pas. Ce qui n'allait franchement pas de soi. D'AMAZONE atomique elle venait quand même de se transformer en simple fille à terre. Comme quoi, les images ne tiennent qu'à un fil."
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